Raffarin était "épuisé, fatigué"

[b][u]Raffarin était "épuisé, fatigué"[/u][/b]

[img]http://s.tf1.fr/mmdia/i/76/1/503761_5.jpg[/img] ('image LCI)

[b]Dans une interview diffusée mardi matin sur RTL, l'ancien chef du gouvernement affirme que "le Premier ministre est un airbag pour le président de la République. "A Matignon, le rythme est pathologique, trop stressant, très difficile" explique-t-il.[/b]

Ils se respectent les anciens Premiers ministres français, comme se respectent généralement ceux qui ont vécu la même aventure humaine. Occuper Matignon, aux dire de tous, est en effet une expérience humaine extrême. Pour sa première interview depuis son départ il y a sept mois, Jean-Pierre Raffarin ne dit pas autre chose. "A Matignon, le rythme est pathologique, trop stressant, très difficile (...) J'étais fatigué, épuisé", déclare l'ancien chef du gouvernement dans un entretien que RTL diffusera mardi matin.

Et le nouveau sénateur de la Vienne de définir le rôle du "PM" (abréviation usuelle du milieu politique) par une image automobile : "le Premier ministre est un airbag pour le président de la République. "J'ai voulu faire de ma mission un acte profond de loyauté", ajoute-t-il. "Pour une raison politique : c'est le président de la République qui est élu par les Français, c'est lui qui a la légitimité." Etre Premier ministre, "c'est un don de soi qui exige une hygiène de vie, une éthique personnelle", explique Jean-Pierre Raffarin, qui est resté à la tête du gouvernement, de la victoire de Jacques Chirac à la présidentielle de 2002 au lendemain du référendum sur la Constitution européenne du 29 mai 2005. L'ancien Premier ministre déclare "ne pas avoir eu de coup de blues après Matignon". "Je suis parti à la mer, j'ai dormi, nagé, puis à la montagne. Ensuite je suis reparti en campagne sénatoriale."

Jean-Pierre Raffarin a retrouvé mercredi soir la présidence de Dialogue et initiative, son club de réflexion, pour en faire "le véhicule d'union au sein de l'UMP" dans la perspective de la présidentielle de 2007.

Source LCI

Ah mon premier ministre préferé...

Ironie ?

Ce ne doit pas etre la joie de n etre qu un fusible ! Pauvre raff

Il a payé les pots cassés...