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 L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues

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2 participants
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Alexandre
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Alexandre


Masculin Nombre de messages : 2554
Age : 36
Parti Politique : U.M.P
Candidat : Nicolas Sarkozy
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MessageSujet: L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues   L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues EmptyDim 29 Jan - 16:27

[b][i][/i]L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues[u]

LYON (Reuters) - François Bayrou a accusé dimanche le gouvernement de Dominique de Villepin d'avoir oublié les banlieues et d'avoir menti sur les raisons de la crise de novembre.[/u][/b]


"L'actualité n'a pas plutôt tourné la page, les journaux télévisés n'ont pas plutôt changé de titres que la crise des banlieues a été totalement effacée de l'esprit même et de l'expression même de ceux qui prétendaient, la main sur le coeur, en faire désormais la priorité nationale", a lancé le président de l'UDF devant le congrès extraordinaire de son parti, réuni à Lyon.

"Nous, nous n'avons pas oublié, nous n'avons pas perdu de vue ce qui s'est exprimé dans ce drame", a-t-il dit.

"Ce drame ne ressemblait en rien à ce qu'on nous en racontait. Il n'y avait pas de main noire, pas d'organisateur en chef, pas plus trotskiste qu'islamiste, qui tirait les ficelles dans les banlieues des villes de France et qui donnait l'ordre sournois, mystérieux, sombre, de brûler des voitures pour renverser l'ordre établi dans notre pays, rien de tout cela", a affirmé François Bayrou.

"Il n'y avait pas de chef, pas d'organisateur, pas de mot d'ordre, pas de nom pour cette affaire. Il y avait simplement quelque chose qui ressemble à l'acte de détresse des adolescents, quelque chose qui ressemble à de l'automutilation", a-t-il conclu.


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Kiti
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MessageSujet: Re: L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues   L'UDF accuse le gouvernement d'avoir oublié les banlieues EmptyVen 14 Juil - 23:47

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY

Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.

Le double langage de Sarkozy
D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .

Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”

1. Relance de l’immigration
L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !

2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale
Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.

3. Aide à l’islamisation de la France
Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..

4. Hostilité au droit du sang
Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.

5. Abrogation de la prétendue “double peine”
Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).

6. Droit de vote des immigrés
Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.

7. Discrimination “positive”
Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.

Conclusion
On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.”
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