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 Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen

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Alexandre
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Alexandre


Masculin Nombre de messages : 2554
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Candidat : Nicolas Sarkozy
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MessageSujet: Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen   Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen EmptyMer 7 Juin - 19:39

[quote][b][u]Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen[/u]

Le président du FN s'est montré très optimiste pour la présidentielle en inaugurant ses locaux de campagne à Saint-Cloud. "Sarkozy court après Le Pen, Royal court après Sarkozy", a-t-il ironisé. Quant aux électeurs, estime-t-il, "ils se disent que c'est Le Pen qui avait raison". [/b]

Jean-Marie Le Pen s'est déclaré convaincu mercredi que le climat politique ne lui a jamais été aussi favorable, en inaugurant à Saint-Cloud ses locaux de campagne pour l'élection présidentielle. "Sarkozy court après Le Pen, Royal court après Sarkozy, peut-être que ça nous donne l'ordre d'arrivée à l'élection présidentielle", a glissé le président du Front National. Avant de qualifier de "mesure bidon" la proposition de Ségolène Royal d'un encadrement militaire pour les jeunes délinquants, et de dénoncer "l'échec" de Nicolas Sarkozy dans la lutte contre la délinquance. "Sarkozy est un faux homme de droite qui veut toujours faire plaisir à la gauche, et Mme Royal une fausse femme de gauche qui se prend pour un sergent des Marines", a-t-il brocardé.

Le président du FN a exclu que les tentatives de la présidentiable socialiste et du ministre de l'Intérieur de "muscler" leurs discours, sur la délinquance pour la première, sur l'immmigration pour le deuxième, puissent ramener des électeurs FN vers le PS ou l'UMP. "Les électeurs peuvent trouver les idées" de Ségolène Royal ou de Nicolas Sarkozy "sympathiques", mais "cela ne les fait pas voter pour eux", a estimé Jean-Marie Le Pen, aujourd'hui à 14% d'intentions de vote dans les sondages. "Ils se disent que c'est Le Pen qui avait raison, et ils votent pour celui qui incarne la rectitude" dans ses idées, "celui qui n'a jamais menti", a dit le président du FN, arrivé au deuxième tour de la dernière présidentielle avec 16,8% des suffrages.

"Une tendance lourde qui pousse les électeurs vers Jean-Marie Le Pen"

"Je pense qu'il fera mieux qu'en 2002", a déclaré de son côté la directrice stratégique de la campagne, Marine Le Pen, qui occupera le bureau central du nouveau quartier général. "Il y a une tendance lourde qui pousse les électeurs vers Jean-Marie Le Pen", a estimé la fille du président du FN, selon laquelle "la campagne tourne aujourd'hui autour des thèmes" de son parti, comme la sécurité, l'immigration, ou la mondialisation.

Le QG de la campagne présidentielle est situé au siège du Front national, mais ses locaux en sont séparés, et desservis par une entrée indépendante de celle du parti. Le QG doit pouvoir accueillir des gens "qui souhaitent participer à la campagne sans être embrigadés dans un parti politique", a expliqué Jean-Marie Le Pen. Il s'est toutefois montré discret sur les premiers résultats de sa stratégie d'Union patriotique, visant à créer autour de lui un rassemblement de tous les défenseurs des idées nationales. "Il y a des contacts qui ont été établis, des gens qui posent des questions" a-t-il dit. Mais le président du FN a exclu la reformation d'un "duo Le Pen Mégret". Il s'est également montré optimiste sur sa capacité à recueillir les 500 signatures d'élus nécessaires pour se présenter.[/quote]


Ah là là, il m'etonne le Jean Marie à propos de Ségolène Royale, en oubliant un peu, que son pouvoir a été poussé un peu par Mitterand. Il me semble qu'il était du PS.. Enfin, pour ses 500 signatures, c'est sur, aujourd'hui !
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Kiti
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MessageSujet: Re: Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen   Royal "fausse femme de gauche" pour Le Pen EmptyVen 14 Juil - 23:39

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY

Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.

Le double langage de Sarkozy
D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .

Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”

1. Relance de l’immigration
L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !

2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale
Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.

3. Aide à l’islamisation de la France
Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..

4. Hostilité au droit du sang
Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.

5. Abrogation de la prétendue “double peine”
Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).

6. Droit de vote des immigrés
Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.

7. Discrimination “positive”
Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.

Conclusion
On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.”
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