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 le ps ne veut pas de Bayrou

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5 participants
AuteurMessage
Résistance
1er ministre
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Féminin Nombre de messages : 466
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Parti Politique : UMP ?
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MessageSujet: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptyLun 19 Juin - 15:31

[quote]Citation:
Présidentielle 2007
Hollande ferme la porte à Bayrou
Sahra Saoudi, avec Reuters
Le premier secrétaire du parti socialiste a rejeté lundi l'alliance droite-gauche proposée par le président de l'UDF la semaine dernière


La facture politique
lors que le parti centriste ne cesse de faire les yeux doux au PS, François Hollande a balayé l'éventualité d'une alliance droite-gauche, proposée par son dirigeant pour gouverner le pays, dans la perspective de l'élection présidentielle de 2007. "Ce n'est pas une offre d'alliance, c'est une offre de confusion", a-t-il estimé lors d'une interview sur I-télé.

"Faire son choix"
"C'est de l'incantation, c'est du verbiage, il y a un moment où il faut choisir", a jugé le leader socialiste. "Si M. Bayrou trouve que le programme de la gauche est plus intéressant que le programme de la droite, alors bien sûr qu'il sera le bienvenu, pour voter à gauche." Lors du second tour de la présidentielle, il "devra faire son choix", non par rapport aux personnes mais par rapport à un "contrat politique avec le pays", a-t-il ajouté.

Pour François Hollande, la stratégie d'ouverture au centre voulue par le président François Mitterrand, pour son second septennat (1988-1995) "n'était pas la bonne stratégie". "Je pense que la bonne stratégie c'est sur le contrat politique, ce n'est pas en débauchant telle ou telle personne ce n'est pas en captant telle ou telle faveur de telle ou telle personnalité, c'est en se posant la question simple : sur quoi gouverner ?" a souligné le premier secrétaire du PS.

"Mur de Berlin"
Le président de l'Union pour la démocratie française avait affirmé le 12 juin dernier, sur l'antenne de France-Inter, vouloir abattre le "mur de Berlin" qui sépare la droite et la gauche en France. "C'est l'alternative claire et la seule disponible aux échecs répétés dont les Français souffrent depuis vingt ans", selon lui. Il a également demandé dimanche à Ségolène Royal qu'elle fasse "bouger les lignes" traditionnelles entre les deux clivages, comme il entend lui-même le faire. "Si elle fait bouger les lignes, je trouve ça intéressant", a déclaré M. Bayrou au Grand rendez vous Europe1-TV5-Le Monde-Le Parisien.

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel avait, par ailleurs, décidé mercredi dernier de classer l'UDF du côté de l'opposition, en ce qui concerne le calcul du temps de parole accordé à chaque parti au cours de la campagne électorale de l'an prochain, comme l'avait demandé l'UMP, après le vote de la motion de censure socialiste par onze députés dont François Bayrou. [/quote]
Pauvre Bayrou , il ne l'avait pas vue arriver celle là !!
Va t il avoir l'impudeur de se retourner vers l'UMP ?
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Oliv
Citoyen
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptyLun 19 Juin - 22:20

hollande est con, sa mfait dla peine pour lui... Il veut sremettre un peu plus a gauche qu'avant, il ignore les bonnes idées, c'est dommage...
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Alexandre
Président
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Alexandre


Masculin Nombre de messages : 2554
Age : 36
Parti Politique : U.M.P
Candidat : Nicolas Sarkozy
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptyLun 19 Juin - 23:45

Va t il avoir l'impudeur de se retourner vers l'UMP ?.. Oui comme de bon vieux con on va l'accueillir
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http://www.mobi-tests.net
Martin
Non démocratique



Masculin Nombre de messages : 132
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptyVen 14 Juil - 22:42

Sarkozy se veut reconnaissant avec la France
Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident.
Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !)
Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ?

Tignous - Charlie Hebdo
Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique

publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire  Commentaire(8)   Trackback(0)   Recommander
Dimanche 02 Juillet 2006
Sarkozy c'est Chirac ... en pire
Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones.
Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour  suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ...
Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez).
Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable !
Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner !
Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras :
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Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher
LE MONDE | 01.07.06 | 13h12
 
Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal."
L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger."
L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale."
Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac.
Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture".
Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire.
Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux.
Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal !
Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme.
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Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ?
Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet.
Fermez le ban
Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique

publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire  Commentaire(32)   Trackback(0)   Recommander
Samedi 01 Juillet 2006
Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6)
Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire.
Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue.
Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles.
Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée.
Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?).
Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation.
C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles.
Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire.
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Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques
LE MONDE | 30.06.06 | 14h05
Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial
Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana.
Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans."
Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer."
C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre.
Philippe Ridet
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Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5
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Vendredi 30 Juin 2006
Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants
Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ...
Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant.
Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers.
Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ? 

Cabu - 31.05.2006
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Jeudi 22 Juin 2006
Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même
Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire.
Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait).
"La France aime la, ou quitte la"
La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen"
Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition.
Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! )
Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre ! 
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Kiti
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptySam 15 Juil - 0:16

Sarkozy organise clandestinement l’immigration de peuplement

La “vérité nous rendra libre”, mais la vérité n’est pas connue. En 2005, 169.000 étrangers ont acquis la nationalité française, record historique des naturalisations.

Depuis 2002, qui a vu la victoire présidentielle du candidat du Front “Républicain” (sic) contre le candidat du Front National et la victoire de l’anti-France contre la France, l’immigration légale et les naturalisations sont en progression accélérée. Plus de 200.000 entrées légales par an ces dernières années.

Et pendant ce temps là, Sarkozy fait croire au pays qu’il combat l’immigration clandestine. Le champion du double langage et des faux semblants vient pourtant de se prendre les pieds dans le tapis de sa démagogie et de ses mensonges. En annonçant la régularisation des clandestins ayant un enfant scolarisé, le ministère de l’intérieur parlait de 2500 cas à traiter. La presse parle aujourd’hui de 10.000, et au regard des files d’attente devant toutes les préfectures de France, on voit bien qu’il s’agit certainement de beaucoup plus.

Grâce à Sarkozy, on connait maintenant la bonne méthode pour obtenir une régularisation non pas au “au cas par cas”, mais dans tous les cas. Ne venez pas seul en France, mais en famille, et veillez bien à scolariser immédiatement les enfants.

Immigration légale massive, naturalisations massives et régularisations massives des clandestins par voie scolaire : On ne sait pas ce que la France a fait à Sarkozy et à sa famille pour qu’il s’acharne ainsi à la désintégrer. Mais il s’y active !
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Martin
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptySam 15 Juil - 0:49

------------------------------------------------------------------------9 novembre. Pensant que les imbéciles que nous sommes ont oublié son rôle désastreux dans l'embrasement des banlieues, il tente de reprendre la main avec son petit couplet "fermeté et virilité" : "J'ai demandé aux préfets que les étrangers, qui sont en situation régulière ou irrégulière, qui ont fait l'objet d'une condamnation, soient expulsés sans délai de notre territoire, y compris ceux qui ont un titre de séjour"  Voici donc le quasi-droitdelhommiste qui, la main sur le coeur, promettait hier encore d'en finir avec la double peine, qui reprend aujourd'hui sa pêche intensive aux voix du Front National. Il ne sait plus quoi faire pour exister le malheureux...
7 décembre. L'homme n'aime pas la contradiction, l'homme fuit la contradiction, il préfère parler tout seul devant des caméras. Sachant qu'il va être reçu comme un chien dans un jeu de quilles, rejeté par Aimé Césaire, le sous-premier-ministre reporte son voyage aux Antilles.
"Les conditions de sérénité d'un travail collectif nécessaire pour traiter efficacement des questions fondamentales pour les Antillais que sont la sécurité, le développement économique et l'emploi ne me paraissent pas (...) aujourd'hui réunies", a-t-il constaté. "J'ai par conséquence décidé de reporter mon voyage de quelques semaines"
Dommage, on aurait aimé l'entendre parler de la racaille qu'il faut nettoyer au Kärcher, bref d'illustrer une fois de plus le rôle positif de la France outre-mer (marque déposée)
7 décembre, toujours (mauvaise journée décidément). Les renseignements généraux démontent le péplum sarkozien des banlieues manipulées par des bandes mafieuses, et lui substitue la réalité d'une révolte populaire toute bête. Bref, ce serait juste de l'ingratitude à l'égard des ancêtres politiques de l'actuel ministre de l'intérieur, qui du temps où ils étaient toujours aux affaires, avaient construit des quartiers qui étaient quand même bien* pour les pauvres (avant que les noirs et les Arabes ne fassent fuir les Français, bien sûr). 
Le rapport souligne l'absence de caïds ou encore d'intégristes manipulant les émeutiers. Le mouvement "s'apparente à une révolte populaire des cités", mais n'était ni organisé, ni manipulé. La France aurait basculé de "la guérilla urbaine" à "l'insurrection urbaine" et les violences seraient dues à la condition sociale des émeutiers et non à leur origine ethnique ou géographique. Le rapport précise même que "restreindre les derniers événements à de simples violences urbaines serait une erreur d'analyse".
On ne peut vraiment plus compter sur personne... pôôôôvre Nicolas !
(*)Le fait que les architectes et leurs commanditaires n'aient jamais habité là (même avant que les noirs...etc...) s'appelle... une coïncidence !
Debut 2006...
... nouvel avatar de la sarkozysation de la société
Février 2006 : rien ne résiste à l'omniscience du visionnaire. Nicolas Sarkozy s'attaque à l'école sclérosée pour lui insuffler une vraie modernité :casser la carte scolaire pour permettre aux blancs de choisir leurs écoles et éviter celles où il y a de la racaille... et ainsi faire enfin bénéficier la France du summum de la civilisation américaine, le communautarisme. Ajoutons à cela la compétition entre établissements et le salaire des enseignants au mérite....
Bref, monter les gens les uns contre les autres, mettre la France en pilotage automatique, ravager au nom de la réforme-panacée, démissionner au nom de la libéralisation : comment peut-il encore faire illusion ?
8 mars 2006 : cracher dans la soupe, toujours. Le CPE n'est pas populaire, qu'à cela ne tienne : Sarkozy fait donner ses porte-glaviots (De Charette et Devedjian) pour assurer ses arrières (si nécessaire, il dira "on l'avait bien dit") et savonner la planche de De Villepin. Mais où est donc la fameuse "rupture" du surdoué ? Ses méthodes abjectes sentent plutôt le réchauffé...
17 mars : comme cela ne suffit pas, Devedjian remet le couvert dans une interview Radio-Notre-Dame/La croix.  C'est un bouquet de poignards dans le dos : "...Le premier ministre a fait un choix un peu aventureux avec le CPE", puis "...on aurait sans doute fait autrement si Nicolas Sarkozy avait conduit la politique du pays. Mais quand on est sur le même bateau, on suit les instructions du capitaine. Je n'aime pas les déserteurs. Le capitaine a fait un choix un peu aventureux mais nous sommes solidaires", puis encore..."nous (les sarkozystes) ne sommes philosophiquement pas favorables au CPE en soi". C'est une décision que "nous soutenons par solidarité ministérielle et par pragmatisme (...) C'est le choix du gouvernement. Ce n'est peut-être pas une mauvaise solution mais nous sommes plutôt pour un contrat de travail unique et progressif"
27-28-29 mars : à l'occasion du conflit sur le CPE, le show du traître atteint des sommets qui valent bien une page spéciale...
A suivre... n'en doutons pas
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Contre le cancer du cerveau : adhérez à la Ligue Anti Sarkozy
Sites inscrits
Blog d'am94 (hors liste - blog général non subversif - 04 sept 05)
PA entre L (hors liste - 23 sept. 2005)
Jesurf (hors liste - 19 septembre 2005)
Re-so (14 août 2005)
Sarkostique (25 juin 2005)
Inscrivez le votre !La différence entre le monde et la place Beauvau,
c'est que le trou-du-cul du monde, on ne sait pas bien où il est,
alors que le trou-du-cul de la place beauvau,
il est tout le temps à la télé...
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Martin
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptySam 15 Juil - 0:50

------------------------------------------------------------------------9 novembre. Pensant que les imbéciles que nous sommes ont oublié son rôle désastreux dans l'embrasement des banlieues, il tente de reprendre la main avec son petit couplet "fermeté et virilité" : "J'ai demandé aux préfets que les étrangers, qui sont en situation régulière ou irrégulière, qui ont fait l'objet d'une condamnation, soient expulsés sans délai de notre territoire, y compris ceux qui ont un titre de séjour"  Voici donc le quasi-droitdelhommiste qui, la main sur le coeur, promettait hier encore d'en finir avec la double peine, qui reprend aujourd'hui sa pêche intensive aux voix du Front National. Il ne sait plus quoi faire pour exister le malheureux...
7 décembre. L'homme n'aime pas la contradiction, l'homme fuit la contradiction, il préfère parler tout seul devant des caméras. Sachant qu'il va être reçu comme un chien dans un jeu de quilles, rejeté par Aimé Césaire, le sous-premier-ministre reporte son voyage aux Antilles.
"Les conditions de sérénité d'un travail collectif nécessaire pour traiter efficacement des questions fondamentales pour les Antillais que sont la sécurité, le développement économique et l'emploi ne me paraissent pas (...) aujourd'hui réunies", a-t-il constaté. "J'ai par conséquence décidé de reporter mon voyage de quelques semaines"
Dommage, on aurait aimé l'entendre parler de la racaille qu'il faut nettoyer au Kärcher, bref d'illustrer une fois de plus le rôle positif de la France outre-mer (marque déposée)
7 décembre, toujours (mauvaise journée décidément). Les renseignements généraux démontent le péplum sarkozien des banlieues manipulées par des bandes mafieuses, et lui substitue la réalité d'une révolte populaire toute bête. Bref, ce serait juste de l'ingratitude à l'égard des ancêtres politiques de l'actuel ministre de l'intérieur, qui du temps où ils étaient toujours aux affaires, avaient construit des quartiers qui étaient quand même bien* pour les pauvres (avant que les noirs et les Arabes ne fassent fuir les Français, bien sûr). 
Le rapport souligne l'absence de caïds ou encore d'intégristes manipulant les émeutiers. Le mouvement "s'apparente à une révolte populaire des cités", mais n'était ni organisé, ni manipulé. La France aurait basculé de "la guérilla urbaine" à "l'insurrection urbaine" et les violences seraient dues à la condition sociale des émeutiers et non à leur origine ethnique ou géographique. Le rapport précise même que "restreindre les derniers événements à de simples violences urbaines serait une erreur d'analyse".
On ne peut vraiment plus compter sur personne... pôôôôvre Nicolas !
(*)Le fait que les architectes et leurs commanditaires n'aient jamais habité là (même avant que les noirs...etc...) s'appelle... une coïncidence !
Debut 2006...
... nouvel avatar de la sarkozysation de la société
Février 2006 : rien ne résiste à l'omniscience du visionnaire. Nicolas Sarkozy s'attaque à l'école sclérosée pour lui insuffler une vraie modernité :casser la carte scolaire pour permettre aux blancs de choisir leurs écoles et éviter celles où il y a de la racaille... et ainsi faire enfin bénéficier la France du summum de la civilisation américaine, le communautarisme. Ajoutons à cela la compétition entre établissements et le salaire des enseignants au mérite....
Bref, monter les gens les uns contre les autres, mettre la France en pilotage automatique, ravager au nom de la réforme-panacée, démissionner au nom de la libéralisation : comment peut-il encore faire illusion ?
8 mars 2006 : cracher dans la soupe, toujours. Le CPE n'est pas populaire, qu'à cela ne tienne : Sarkozy fait donner ses porte-glaviots (De Charette et Devedjian) pour assurer ses arrières (si nécessaire, il dira "on l'avait bien dit") et savonner la planche de De Villepin. Mais où est donc la fameuse "rupture" du surdoué ? Ses méthodes abjectes sentent plutôt le réchauffé...
17 mars : comme cela ne suffit pas, Devedjian remet le couvert dans une interview Radio-Notre-Dame/La croix.  C'est un bouquet de poignards dans le dos : "...Le premier ministre a fait un choix un peu aventureux avec le CPE", puis "...on aurait sans doute fait autrement si Nicolas Sarkozy avait conduit la politique du pays. Mais quand on est sur le même bateau, on suit les instructions du capitaine. Je n'aime pas les déserteurs. Le capitaine a fait un choix un peu aventureux mais nous sommes solidaires", puis encore..."nous (les sarkozystes) ne sommes philosophiquement pas favorables au CPE en soi". C'est une décision que "nous soutenons par solidarité ministérielle et par pragmatisme (...) C'est le choix du gouvernement. Ce n'est peut-être pas une mauvaise solution mais nous sommes plutôt pour un contrat de travail unique et progressif"
27-28-29 mars : à l'occasion du conflit sur le CPE, le show du traître atteint des sommets qui valent bien une page spéciale...
A suivre... n'en doutons pas
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MessageSujet: Re: le ps ne veut pas de Bayrou   le ps ne veut pas de Bayrou EmptySam 15 Juil - 0:52

Dans une interview au Figaro, Nicolas Sarkozy aggrave son cas auprès de ses électeurs potentiels, et donne raison à ce que dit de lui Philippe de Villiers. Son analyse de la crise du CPE indique bien les limites de la "rupture" qu'il prétend incarner :

Principe N° 1 : Plutôt que risquer une nouvelle affaire Malik Oussekine, toujours céder à la rue.

Ne craignez-vous pas qu'une partie de l'électorat vous reproche d'avoir capitulé, comme beaucoup de gouvernements de droite depuis vingt-cinq ans ?

[...] Nos électeurs les plus fermes à droite veulent qu'on ne cède pas à la rue, et ils ont raison. Mais ils voulaient aussi que la pagaille s'arrête et qu'on ne se retrouve pas avec une nouvelle affaire Malik Oussekine, qui aurait conduit au désastre. Je ne suis pas là pour faciliter la tâche de la gauche. Or j'affirme que cela aurait été un cadeau à la gauche, que de lui donner un espace, que de vouloir imposer une réforme qui n'était pas perçue par les Français comme juste.

Principe N° 2 : Thatcher avait tort : il ne faut jamais réformer si le MEDEF et les syndicats "réformistes" sont contre.

Est-ce une façon de dire que vous n'avez jamais approuvé le CPE ?

Pourquoi faudrait-il, parce qu'on est de droite, défendre un dispositif qui avait fini par n'être ni voulu par les chefs d'entreprise ni accepté par les syndicats réformistes. Quand on a la CGC sur la même ligne que la CGT, on ne peut que s'interroger sur la méthode et sur le fond. C'est ce que nous avons fait. Qui peut me le reprocher ?

Principe N° 3 : Plus un mouvement est manipulé par des extrémistes violents, plus il faut s'empresser de céder.

Pourquoi alors a-t-il fallu autant de temps pour sortir de la crise ?

[...] En tant que ministre de l'Intérieur, j'étais bien placé pour disposer d'informations sur la radicalisation du mouvement. Cela m'a alerté et inquiété. Il fallait que les étudiants et les lycéens reprennent leurs cours. Il fallait vite en sortir.
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