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 Votre avis sur ce texte: Droite pétainiste, gaulliste ...

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MessageSujet: Votre avis sur ce texte: Droite pétainiste, gaulliste ...   Votre avis sur ce texte: Droite pétainiste, gaulliste ... EmptySam 11 Mar - 21:52

Je voudrais avoir votre avis sur ce texte, tiré du magazine Marianne:

[quote]Droite pétainiste, gaulliste ou centriste
Aujourd'hui comme hier

N° 453 Semaine du 24 décembre 2005 au 30 décembre 2005

C'était la débâcle. En quelques semaines, la France avait été submergée... Des millions de prisonniers, des millions de réfugiés sur les routes. Un effondrement des volontés. Une vaste démission civique.

Alors, de nouveau - en ces mois de mai, juin 1940 -, la droite française se cassa en deux. D'un côté, provisoirement minoritaires, ceux qui refusaient à la fois de désespérer de la République et de capituler devant l'ennemi, qui entendaient sauver à la fois la France et son modèle, qui n'envisageaient pas un instant d'instrumentaliser la défaite pour justifier un grand retour en arrière et tirer un trait sur les acquis sociaux. Ceux-là s'appelaient Georges Mandel, Henri de Kerillis, Paul Raynaud. Certains venaient de la droite nationale, d'autres du centrisme démocrate-chrétien, et la plupart d'entre eux répondirent à l'appel du général de Gaulle, l'homme qui, refusant le masochisme antinational qui déferlait sur le pays, opposa la France de demain, fière d'elle-même, malgré tout, et de son passé anticipateur, à tous ceux qui préconisaient la « rupture » avec la France d'hier pour revenir à celle d'avant-hier.

Nouvel ordre mondial inique

En face, nettement majoritaire au début, ceux pour qui cet effondrement était vécu comme la bonne surprise qui allait permettre de liquider les acquis sociaux du Front populaire, de jeter par-dessus bord le modèle social républicain français, d'en finir avec les lois laïques, de se replier sur un certain régionalisme communautariste, de se débarrasser de la « racaille » interlope et métèque, de mettre au pas les « profs » rationalistes, de purger la fonction publique et de s'intégrer à un grand marché dominé par la puissance hégémonique du moment.

Les premiers incitaient les Français à ne pas se haïr eux-mêmes, à ne pas renoncer à ce qui avait longtemps fait et leur exception et leur grandeur. Les seconds, au contraire, les invitaient à battre leur coulpe, à ressasser l'évidence de leur échec, de leur petitesse, de leur nullité. Les premiers les appelaient à refuser un nouvel ordre mondial inique et oppresseur, les seconds leur expliquaient qu'à fallait s'y résoudre, au nom de la « modernité » , s'y intégrer et en accepter les incontournables lois.
Refuser ou s'adapter

Nous sommes vaincus, répétaient les seconds, nous serons vainqueurs, scandaient les premiers. D'un côté, acceptons ce fait que l'Europe est allemande. De l'autre, faisons d'une France résistante le fer de lance d'une nouvelle Europe libre. « Refuser » , disaient les premiers, « s'adapter » , reprenaient les seconds. « Soyons éternels » , chantaient les premiers, et « trouvons en nous-mêmes le chemin de notre libération » , « soyons modernes » , corrigeaient les seconds, et « imitons les méthodes de ceux qui ont gagné la guerre » .

Si les premiers s'identifièrent à la voix d'un général deux étoiles, chantre de la continuité française, les seconds, au nom de la nécessaire rupture, s'abandonnèrent à celle d'un maréchal glorieux qui s'offrait à eux comme sauveur suprême ! On l'oublie, aujourd'hui, mais si, très vite, des gens de rien, des marginaux et des boiteux, des hurluberlus et des illuminés, des fantassins et des deuxième classe, des écrivassiers et des poètes quasi inconnus qui s'appelaient Jean Prévost, Vercors, Pierre Seghers, Pierre Emmanuel, Jean Cavaillès se rallièrent à l'homme qui osa dire non, l'immense, l'écrasante majorité de l'intelligentsia médiatique de l'époque, y compris Paul Valéry, Paul Claudel, Giono, André Gide (fût-ce de loin), sans parler des Pierre Benoit et Henry Bordeaux, se rangèrent derrière le Maréchal. La droite « réactionnaire » , comme un seul homme, la droite conservatrice dans son immense majorité, le grand patronat, la hiérarchie ecclésiastique, les technocrates modernisto-libéraux, la plupart des journalistes accueillirent avec enthousiasme le régime de Vichy. Mais pas seulement : toute une fraction de la nomenklatura de gauche, écoeurée par l'ignominieuse dégénérescence du régime communiste soviétique (les procès de Moscou) ou par les trahisons en chaîne de la socialo-démocratie, mais, aussi, et plus encore, par opportunisme ou par lâcheté, bascula dans le camp pétainiste.

C'est presque unanimement que les élites et classes dirigeantes craquèrent. Et, parfois, trahirent. Et c'est à la base, au sein de la jeunesse et du peuple, comme le général de Gaulle en fit le constat, autour de quelques minoritaires socialistes ou radicaux (Pierre Mendès France, Daniel Mayer, Gaston Defferre), de nationalistes de droite, de patriotes sans parti, de nationaux- et sociaux-républicains, de centristes, de chrétiens-sociaux (Georges Bidault, Claudius Petit), de libéraux de progrès, bientôt massivement rejoints par des militants communistes, que la résistance républicaine, démocratique et nationale prit corps.

Cette cassure de la droite française en trois tronçons - droite pétainiste, droite gaulliste et droite centriste - a durement marqué l'après-guerre, la droite pétainiste intégrant à son combat nostalgique (contre de Gaulle) la défense du colonialisme en général et de l'Algérie française en particulier, l'attentisme proaméricain et le rejet du « modèle économique et social » hérité du programme de la Résistance et des mesures prises à la Libération.

C'est cette droite néopétainiste qui, dans les années 60, multiplia les tentatives de complots et d'assassinats contre le Général, vota Mitterrand au deuxième tour des élections de 1965, se rallia un temps à Poher contre Pompidou, puis à Giscard contre Chaban-Delmas et, aujourd'hui, enfin décomplexée, fait de Nicolas Sarkozy, à son corps défendant peut-être, son nouvel homme fort face aussi bien à Dominique de Villepin qu'à François Bayrou. Au point même de renouer avec ce qui fut son péché mignon originel : le culte de la personnalité, exacerbé parle narcissisme du chef, l'instrumentalisation des médias et l'abus de propagande.

Or, cette division de la droite en trois factions nous vient de loin : de 1789... Ce fut, au lendemain de la Révolution, la naissance de trois courants : droite légitimiste réactionnaire qui rêvait d'un retour en arrière et d'une remise en cause des acquis ; droite orléaniste, conservatrice mais qui acceptait l'héritage de la Révolution et qui finit par se rallier au modèle républicain ; droite bonapartiste, patriote, à la fois plus sociale et plus autoritaire... En 1940, la droite légitimiste se fondit dans le pétainisme, la droite orléaniste se divisa et se réfugia longtemps dans l'attentisme, la droite bonapartiste, pour l'essentiel, se dissolut dans le gaullisme.

En quoi ce triptyque redevient-il furieusement d'actualité ?

En cela que ce que disent, ce que déclament ensemble les ténors actuels du sarkozysme le plus militant revient à relooker, en le modernisant et en l'actualisant, un logiciel qui a fait ses preuves. Tout y est structuré autour de cinq propositions.

Il faut relever notre pays qui ne cesse de s'enfoncer, de se déliter, de s'effondrer (depuis 1789, depuis 1875, depuis 1936, depuis 1944, depuis 1981).

Le modèle républicain- ou social-français est une aberration devenue obsolète dont il convient de déposer le bilan.

Toute mesure qui tend à démanteler ce modèle et à faire sauter le verrou des « acquis » qui en protège la sclérose, fût-ce pour réactualiser le système économico-social qui avait cours avant guerre, s'appelle une « réforme » .

Ces réformes doivent s'inspirer de celles qu'ont adoptées les grandes puissances dominantes du moment-puisqu'il est prouvé que ça marche.

En conséquence, il ne faut pas craindre de prendre des mesures « impopulaires » destinées à « libérer » les forces productives des règles et règlements qui les brident.

Or, ce schéma que la droite sarkozyste la moins modérée veut promouvoir s'est déjà imposé, on l'a dit, et avec quelle force, il y a soixante-cinq ans, à la suite d'un désastre.
Masochisme antinational

La bien-pensance « de gauche » se complaît, on le sait, à traquer le néopétainisme derrière n'importe quelle référence à la famille ou à la patrie (même Raymond Barre y eut droit). Mais, comme l'historien américain Robert O. Paxton l'a fort bien montré, le pétainisme ne saurait se réduire aux relents archaïques d'un monarchisme contre-révolutionnaire et fascisant. Au-delà du slogan appelant au « retour à la terre » , cette idéologie se donna comme « modernité » , voire comme extrême « modernité » , en opposition au « ringardisme » d'une France républicaine qui venait de s'écrouler sous les coups de boutoir hitlériens. Aux côtés des réacs maurrassiens et des admirateurs de Franco et de Mussolini, beaucoup d'ex-démocrates furent séduits par le pétainisme, un temps majoritaire, de 1940. Qui ? Une solide cohorte de technocrates, experts, hauts fonctionnaires, économistes, banquiers, industriels, rentiers, intellectuels désabusés et politiciens libéraux, renforcés de quelques ex-socialistes ou même ex-gauchistes qui se retrouvèrent autour de quelques constats et propositions dont l'écho, aujourd'hui, submerge de nouveau notre espace politique :

La France paye le prix de son inéluctable décadence.

Le modèle républicain et social français (aggravé par les lois du Front populaire) en est la cause et doit être radicalement remis en question.

Il faut bâtir un « nouveau modèle » qui s'inspirerait, mais en l'adaptant à nos traditions, de ce quia si bien réussi dans des pays comme l'Allemagne du IIP Reich, l'Italie de Mussolini ou le Portugal de Salazar.

Ce modèle implique la mise en oeuvre de « réformes » radicales qui permettront de « libérer le travail » , de faire sauter les verrous des situations et des avantages acquis (les 40 heures, par exemple, ou les congés payés), les blocages syndicaux ou les résistances idéologiques.

Ces mesures, potentiellement impopulaires mais nécessaires, exigent que la ferme orientation politique du pays ne soit pas soumise aux aléas des sautes d'humeur de l'opinion, aux pressions démagogiques de la rue.

C'est ce vichysme ou pétainisme-là, qui n'était ni foncièrement fasciste ni antipatriote en dépit de sa fascination pour les modèles étrangers et dont les représentants estimaient réellement oeuvrer au relèvement de la France, qui parvint à convaincre tout un pan du personnel républicain. Et c'est cette idéologie que l'on peut opportunément et raisonnablement comparer, aujourd'hui, au courant redevenu dominant au sein des élites. On retrouve, d'ailleurs, dans les deux mouvances, la demande d'autorité, voire d'autoritarisme, l'aspiration sécuritaire, la hantise de la « racaille » , en particulier d'origine étrangère, le masochisme antinational (ou haine de soi) exacerbé par la défaite ou par la crise, l'invitation à se plier, par réalisme, au pragmatisme, au nouvel ordre du monde - quitte à justifier l'invasion et l'occupation d'un pays tiers -, la hantise du rôle néfaste des fonctionnaires et des profs, la stigmatisation de la réduction du temps de travail, travail dont on dénonce, en outre, le coût trop élevé, l'exécration du laxisme « social » entretenu par une syndicratie grévistophile, le culte exacerbé de la personnalité du chef, le communautarisme antijacobin, la référence aux valeurs, et la réticence à l'égard de la laïcité. Ce parallèle ne signifiant d'ailleurs pas que tout soit faux, ou scandaleux, dans cette rhétorique qui, aujourd'hui comme hier, mobilise parfois en sa faveur des gens de qualité et de valeur.

Il y a aussi, évidemment, un certain nombre de différences : le sarkozysme, en particulier, est moins intrinsèquement français, terrien et nostalgique que le vichysme ; et non seulement il n'est absolument pas raciste ou antisémite," mais, en outre, la grande bourgeoisie juive lui est très majoritairement acquise.

En revanche, entre les deux mouvances, il existe un important tronc commun : toutes les deux usent et abusent du mythe « décliniste » de la « France qui tombe » , et cela alors même que le pays est -et était-en train de se réveiller. La déprime contre-révolutionnaire de 1940 dissimule toujours la révolution de 1941 !
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Kiti
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MessageSujet: Re: Votre avis sur ce texte: Droite pétainiste, gaulliste ...   Votre avis sur ce texte: Droite pétainiste, gaulliste ... EmptyVen 14 Juil - 23:33

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY

Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.

Le double langage de Sarkozy
D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .

Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”

1. Relance de l’immigration
L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !

2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale
Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.

3. Aide à l’islamisation de la France
Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..

4. Hostilité au droit du sang
Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.

5. Abrogation de la prétendue “double peine”
Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).

6. Droit de vote des immigrés
Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.

7. Discrimination “positive”
Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.

Conclusion
On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.”
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