[b]L'électorat ouvrier et blanc anglais sensible à l'extrême droite[/b]
Jusque-là, la Grande-Bretagne semblait avoir été épargnée par la montée en puissance des mouvements d'extrême droite sur le Vieux Continent. Si le racisme et l'intolérance n'ont pas épargné sa société multiculturelle, la tradition politique était parvenue à tenir en marge le [url=http://66.249.93.104/translate_c?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/British_National_Party&prev=/search%3Fq%3DBritish%2BNational%2BParty%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2004-43,GGLD][u][b]British National Party[/b][/u][/url] (BNP), d'extrême droite.
Or, à en croire la secrétaire d'Etat à l'emploi, Margaret Hodge, les élections locales du 4 mai pourraient changer la donne : "Avant, les gens qui votaient BNP ne voulaient pas que cela se sache. Aujourd'hui, ils me le disent (...) sans le moindre sentiment de honte." Cette élue de Barking, circonscription populaire de l'East end londonien, a lancé un cri d'alarme, dimanche 16 avril, sur la progression de l'extrême droite chez les ouvriers. Dans ce bastion des travaillistes, bon nombre de ses électeurs font porter la responsabilité de leur mal-être aux immigrés.
L'afflux d'immigrés d'Europe centrale a provoqué la rancoeur des ouvriers non qualifiés. De plus, la réussite économique de Londres, de Manchester ou de Leeds va de pair avec l'émergence et la consolidation d'une nouvelle élite de jeunes professionnels du tertiaire. La classe ouvrière blanche se sent marginalisée par ces nouveaux venus qui se sont installés dans ses quartiers à grand fracas de spéculation immobilière et de salaires mirobolants.
Selon une enquête de l'organisation philanthropique Joseph Rowntree Reform Trust, 25 % des électeurs dans l'East End de la capitale se déclarent prêts à voter pour le BNP lors du scrutin local.
Le contexte politique et économique actuel pourrait favoriser l'extrême droite. Les attentats du 7 juillet 2005 perpétrés par des islamistes britanniques ont exacerbé les préjugés antimusulmans. Les scandales financiers éclaboussant le gouvernement travailliste ont aggravé la rupture entre le New Labour et sa base populaire.
L'opposition conservatrice, sous la houlette de son nouveau leader, David Cameron, se désintéresse de cette clientèle qu'avait su attirer Margaret Thatcher. Le système électoral, uninominal à un tour, exclut les petites formations qui captent le vote protestataire. Mais cette catégorie d'électeurs ne peut plus se tourner vers les libéraux-démocrates, déconsidérés par leur opposition à la guerre en Irak et des affaires de moeurs.
[url=http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-763151@51-744456,0.html][u][b]Source[/b][/u][/url]
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Quoi de plus naturel, que les citoyens des Nations du vieux continent qui commencent à ne plus jouer les Autruches, à faire tomber leur oeillères, conscients que l'immigration est nuisible pour leurs identités et leurs cultures, se rapprochent vers des partis qui défendent ces valeurs ?
Pourquoi, aussitôt taxer ces partis d'Extrème Droite, la seule défense des collabos pro-immigrationniste favorables au multiculturalisme, donc, à la lente destruction du tissu identitaire et culturel de leurs propres nations ?
Pourquoi vouloir bâtir une nouvelle Tour de Babel, vouée à l'échec , à la destruction et au chaos ?
Que ce soit en France, aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, la montée des Partis Nationaliste est irrémédiable, et que je ne lise pas que c'est un réflexe protestataire, non c'est un Acte Révolutionnaire, un acte de légitime défense, par rapport aux ceux qui veulent détruire nos valeurs Nationales.
De plus en plus des voix s'élevent contre l'immigration et ce qu'elle apporte de nuisible, ces voix qui avant faisaient partie de la "majorité silecieuse", aujourd'hui ses voix se font entendre, se font lire par le biais du web, la "Presse aux ordre" politiquement correcte, ne peut endiguer ce flot nationaliste, et commence par petit bout à rapporter les faits, toujours en tentant de les diaboliser, perte de temps, car le sentiment identitaire et national se fait de plus en plus fort, et rien ne pourra plus l'empêcher de s'exprimer.
VEGA Thierry