[b]Monsieur François Bayr.. Hollande pardon dénonce sur le dossier de l'affaire clearstream Chirac... c'est pas nouveau cela fait 2 semaine que ça dure..[/b]
[quote]MARSEILLE (Reuters) - François Hollande a dénoncé samedi dans l'affaire Clearstream "la haine installée au sommet du pouvoir" et fustigé "l'irresponsabilité" de Jacques Chirac "qui ne veut rien changer".
"C'est une affaire qui révèle surtout un délitement au sommet de l'Etat, la haine installée au sommet du pouvoir. Qu'ils se fassent la guerre mais pas dans l'Etat car il ne leur appartient pas", a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste en clôture, à Marseille, des états généraux du PS consacrés à l'éducation.
François Hollande a critiqué "l'irresponsabilité d'un président de la République qui ne veut rien changer" et "l'irresponsabilité d'un Premier ministre qui ne veut pas poser la question de confiance".
Il s'est de nouveau indigné d'un "climat invraisemblable" à la tête de l'Etat et a stigmatisé le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, qui "dit le pire sur le Premier ministre mais qui décide de rester" au gouvernement.
"Il est resté, pas pour servir le pays mais pour se protéger lui-même et faire campagne aux frais de l'Etat", a-t-il affirmé.
Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy "se font concurrence par voyages interposés. L'un part à la Réunion, l'autre en Afrique où il a été reçu comme il convenait", a commenté François Hollande.
Le dirigeant du PS a été moins prolixe sur la concurrence à l'investiture socialiste pour la présidentielle de 2007 et n'a pas répondu à Henri Emmanuelli, député des Landes, qui a jugé le calendrier de cette désignation « trop long ».
"Nous n'utiliserons pas les services secrets pour nous départager", a dit François Hollande dans une allusion ironique à l'affaire Clearstream.
La plupart des prétendants à l'investiture socialiste, Ségolène Royal, Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn ou Jack Lang, n'étaient pas présents à Marseille.
S'il a jugé légitime la « personnalisation des candidats » dans une compétition présidentielle, le premier secrétaire du Parti socialiste a souligné que le projet serait « décisif » au moment du vote.
François Hollande a proposé que figurent dans le projet socialiste le "droit à la scolarisation à partir de trois ans", un "service public de l'accompagnement scolaire", un "plan de rattrapage de l'université" ou encore un "compte individuel à la formation".
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Le gros donneur de leçon du copain ou mari de Miss France Socialiste nommé encore Marie Ségolène Royale, ne fait que dénoncer ce qu'il soutien dans son propre parti. Pitoyable en quelques sorte.