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| Second Tour Sarkozy/Devillepin | |
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+7ThE TrOlL Damerval Spencer La DROITE. sarkophile Marco Alexandre 11 participants |
Pour qui voteriez vous? | Nicolas Sarkozy | | 70% | [ 21 ] | Dominique De Villepin | | 10% | [ 3 ] | Je ne vote pas / Blanc | | 20% | [ 6 ] |
| Total des votes : 30 | | |
| Auteur | Message |
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Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 15 Jan - 22:25 | |
| Si le second tour est demain.
Les 2 candidats UMP : Pour qui voteriez vous?
Sarkozy ou Devillepin? | |
| | | Youssef Invité
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 15 Jan - 22:33 | |
| [quote:f3b7="Alexandre"]Si le second tour est demain.
Les 2 candidats UMP : Pour qui voteriez vous?
Sarkozy ou Devillepin?[/quote]
Je reste a la maison et je caresse le chat toute la journee devant "la chance aux chansons" de pascal sevran |
| | | Marco Député
Nombre de messages : 370 Parti Politique : UMP Candidat : Sarkozy Date d'inscription : 21/12/2005
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 15 Jan - 22:36 | |
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| | | Thibault Invité
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 15 Jan - 23:07 | |
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| | | sarkophile Citoyen
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/01/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Mar 17 Jan - 0:48 | |
| je vote sarko sans hesiter 1 seconde ! | |
| | | La DROITE. Citoyen
Nombre de messages : 84 Date d'inscription : 12/01/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Mar 17 Jan - 0:51 | |
| [quote:a759="sarkophile"]je vote sarko sans hesiter 1 seconde ![/quote] je vote blanc | |
| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Mar 17 Jan - 0:52 | |
| Bienvenue ! sarkophile
Et très bon choix | |
| | | sarkophile Citoyen
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/01/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Mar 17 Jan - 2:08 | |
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| | | ancmembr Invité
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Lun 6 Fév - 0:29 | |
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| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Lun 6 Fév - 0:41 | |
| [quote:dd9f="Lisa"]Sarkozy !![/quote]
Très bon choix | |
| | | Spencer Citoyen
Nombre de messages : 19 Parti Politique : UMP Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 07/02/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Mer 8 Fév - 0:06 | |
| Nicolas Sarkozy ! Plus dynamique, plus direct et plus libéral. | |
| | | Damerval Citoyen
Nombre de messages : 15 Localisation : Amiens sud-est Parti Politique : UMP Candidat : Nicolas SARKOZY Date d'inscription : 15/02/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 19 Fév - 20:01 | |
| SARKOZY, [b]SARKOZY[/b], Sarkozy incarne le changement, la libre entreprise, la jeunesse intelligente de notre pays la FRANCE mère naturelle de l'EUROPE! Vive Sarkozy et tous ces jeunes de l'UMP porteurs d'avenir et d'espérences, jeunes chauffé(e)s mes douleurs, mon corps meurtri, l'avenir mes enfants c'est vous, les 18 - 25ans, le monde vous appartient, debout! La France vous regarde, le monde vous salut. Ghislain alias jacquou. | |
| | | ThE TrOlL Inactif
Nombre de messages : 74 Age : 104 Date d'inscription : 19/02/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 19 Fév - 20:11 | |
| SarKo sans hésiter. Il mobilse davantage.k | |
| | | Miss Sarkozy Maire
Nombre de messages : 103 Parti Politique : Etudiante et assistante d'éducation Candidat : Le sport (Le PSG) et la Politique sarkozyste!!! Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Dim 5 Mar - 18:42 | |
| Quelle drôle de question! Sarkozy bien sûr! Et ce contre n'importe quel autre candidat! Sarkozy pour son innovation, pour son courage en traitant des sujets houleux, pour sa présence sur le terrain, pour sa petite taille (il est tellement chou.. ) et surtout pour sa pleine connaissance des attentes des Français! Il ne decevra pas!
Nicolas, pour ce que tu es et ce que tu vas devenir, je vote pour TOI! | |
| | | Kiti Modératrice
Nombre de messages : 0 Age : 44 Date d'inscription : 28/06/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:27 | |
| LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY
Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.
Le double langage de Sarkozy D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .
Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”
1. Relance de l’immigration L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !
2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.
3. Aide à l’islamisation de la France Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..
4. Hostilité au droit du sang Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.
5. Abrogation de la prétendue “double peine” Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).
6. Droit de vote des immigrés Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.
7. Discrimination “positive” Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.
Conclusion On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.” | |
| | | cristal Citoyen
Nombre de messages : 15 Age : 45 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:44 | |
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| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:45 | |
| [quote:e224="Miss Sarkozy"]Quelle drôle de question! Sarkozy bien sûr! Et ce contre n'importe quel autre candidat! Sarkozy pour son innovation, pour son courage en traitant des sujets houleux, pour sa présence sur le terrain, pour sa petite taille (il est tellement chou.. ) et surtout pour sa pleine connaissance des attentes des Français! Il ne decevra pas!
Nicolas, pour ce que tu es et ce que tu vas devenir, je vote pour TOI![/quote]
Sarko le cocu ? La sus merde ? le gros enculé comme toi ? | |
| | | cristal Citoyen
Nombre de messages : 15 Age : 45 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:49 | |
| On pourrait en rajouter d'autres !
8. Sarkozy est anti-démocratique car il veut revenir sur le vote du 29 mai: Au retour de son voyage à Berlin, le 16 février 2006, où il a rencontré la chancelière Angela Merkel, voilà ce qu’a dit Sarkozy à propos de la Constitution européenne:
[i][b]« Je propose un texte resserré et consensuel de la Constution européenne fasse l’objet, le moment venu, d’un approbation par le Parlement. […] Nous devons établir, à partir du texte initial, un texte plus court, fondé principalement sur la première partie du traité… » [/b][/i]
Le ministre de l’intérieur semble oublier un certain 29 mai 2005. En effet, il parle et agit comme si les français n’avaient pas voté à 54,7 % contre la Constitution européenne.
Il veut faire revoter (de quel droit ?) le Parlement en Congrés à Versailles (sic) uniquement sur la partie I, la partie la plus importante puisqu’il s’agit du dispositif institutionnel mais non sur les parties II (la charte des droits fondamentaux) et III
[u][b]Voter pour Nicolas Sarkozy, c’est accepter que le vote des Français du 29 mai soit considéré comme nul ! Comment peut-on voter pour un homme qui méprise à ce point le suffrage universel ?? [/b][/u] | |
| | | cristal Citoyen
Nombre de messages : 15 Age : 45 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:50 | |
| [quote:b145="Martin"][quote:b145="Miss Sarkozy"]Quelle drôle de question! Sarkozy bien sûr! Et ce contre n'importe quel autre candidat! Sarkozy pour son innovation, pour son courage en traitant des sujets houleux, pour sa présence sur le terrain, pour sa petite taille (il est tellement chou.. ) et surtout pour sa pleine connaissance des attentes des Français! Il ne decevra pas!
Nicolas, pour ce que tu es et ce que tu vas devenir, je vote pour TOI![/quote]
Sarko le cocu ? La sus merde ? le gros enculé comme toi ? :idea:[/quote]
Martin, inutile de s'exciter ! | |
| | | Kiti Modératrice
Nombre de messages : 0 Age : 44 Date d'inscription : 28/06/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:52 | |
| LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY
Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.
Le double langage de Sarkozy D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .
Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”
1. Relance de l’immigration L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !
2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.
3. Aide à l’islamisation de la France Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..
4. Hostilité au droit du sang Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.
5. Abrogation de la prétendue “double peine” Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).
6. Droit de vote des immigrés Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.
7. Discrimination “positive” Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.
Conclusion On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.” | |
| | | Kiti Modératrice
Nombre de messages : 0 Age : 44 Date d'inscription : 28/06/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:52 | |
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| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Ven 14 Juil - 23:59 | |
| Le problème Sarkozy mercredi 29 mars 2006 Sarkozy l'Imposteur, les couillons et les révolutionnaires Par Jean-Christophe Mounicq La veille du jour où bandes ethniques et hordes barbares s'apprêtent à fondre sur Paris et les principales villes de France pour saccager, piller et frapper les honnêtes gens, le ministre de l'Intérieur, que d'aucuns imagineraient surmené, prend le temps de lancer sa campagne présidentielle dans un grand meeting à Douai. A chacun ses priorités. Certains fantasment sur un Sarkozy obsédé par la sécurité et l'ordre. Nicolas Sarkozy, lui, fantasme sur la présidence de la République. Pas seulement quand il se rase le matin, aime-t-il répéter. La décence conduirait à attendre que la France cesse de donner l'image dévastatrice d'un pays au bord du chaos aux médias de la planète. La conscience professionnelle commanderait de réussir à son poste de ministre, en rétablissant l'ordre et la sécurité en France, avant de rêver de fonctions plus hautes. « Sarko » ne connaît pas ce type de pudeur. Le petit Nicolas sait que son bilan de ministre de l'Intérieur, avec des banlieues en situation insurrectionnelle, est bien plus catastrophique que ses pourtant déjà mauvais bilans de ministre de l'Economie dans le gouvernement Raffarin ou de secrétaire d'Etat au Budget dans celui de Balladur. Il sait aussi, en vieux politicard du système, pouvoir compter sur les medias complices pour ne pas évoquer les choses qui fâchent. Les journalistes ne chercheront pas davantage de vrais poux sur la tête de M. Sarkozy que sur celle de M. Fabius ou de Mme Royal. Ainsi va la vie politique en France, avec ses médias aux ordres, souvent menteurs par omission et de plus en plus souvent appelés « merdias » sur internet. Les éditorialistes étrangers évoquent un destin à l'Argentine pour une France asphyxiée par son Etat-providence, toute aussi incapable de contenir l'explosion de ses dettes que de relancer sa machine économique. Les télévisions du monde montrent une France peuplée de Barbares qui enflamment les banlieues des trois cent plus grandes villes quand ils n'attaquent pas les trains. Les barbares tuent. Ils tuent Jean-Claude Irvoas parce qu'il prend une photo d'un réverbère, tuent Jean-Jacques Le Chenadec parce qu'il éteint un feu de poubelle, torturent Ilan Halimi parce qu'il est Juif et que sa communauté doit payer, percutent et laissent mourir Raphaël Clin parce qu'il est gendarme. Le ministre de l'Intérieur laisse s'installer l'ordre des Barbares et entame sa campagne de présidentiable. Il se présente en sauveur providentiel et en extra-terrestre tombé du ciel. Il va jusqu'à faire supprimer toute référence à l'UMP lors de son meeting. Comme s'il n'était pas le président du parti qui a dirigé sans partage la France depuis bientôt quatre ans. Comme s'il n'avait aucune responsabilité dans le marasme économique et sécuritaire de notre pays. Sarko sait que journalistes et gauchistes le traiteront toujours de libéral conservateur tendance fasciste et que son électorat s'y laissera prendre comme il s'est laissé prendre avec Giscard ou Chirac. En bon radical socialiste, le ministre de l'Intérieur n'hésitait pas à faire ses déclarations de foi pro-immigrationniste (1). Il a mis ses actes en conformité (2). Il multiplie les circulaires aux préfets pour demander de la complaisance à l'égard des immigrés illégaux, octroie des titres de séjour aux immigrés illégaux de Sangatte, décuple le quota de visas aux Algériens. Il relance l'immigration, reconnaît officiellement et sponsorise une organisation proche des « Frères musulmans » l'UOIF, fait interdire l'expulsion hors de France des délinquants étrangers, proclame sa volonté de donner aux immigrés des droits et avantages particuliers dont seront privés les Français de souche avec la discrimination positive, et promet le droit de vote des immigrés aux élections locales. Les 200 000 couillons de l'UMP qui aiment ce chef qui ruine et coule la France en redemandent. Devant 3000 d'entre eux, il vient d'expliquer sa méthode pour réformer notre modèle économique et social : « La « rupture » comme projet, le « compromis » comme méthode », titre le Figamonde dans sa version du matin ; en « prônant le dialogue social » précise la version du soir. Ce seront donc les syndicats de fonctionnaires qui diront jusqu'où la réforme peut aller. Et ce sera nulle part. « La rupture par le compromis » est promise aux cons. Sarkozy rejoue le coup de Raffarin aux égoïstes, aux satisfaits, aux profiteurs et aux débiles qui ne manqueront pas de voter pour lui. Quant aux autres, ils sont les bienvenus pour venir gonfler les rangs des révolutionnaires bleus qui seuls réclament la tolérance zéro pour remettre de l'ordre et la réduction des impôts pour relancer l'économie. 1. cf. Libération du 23 décembre 2005 ou « 100 minutes pour convaincre » du 9 décembre 2002 sur France 2 2. cf. l'excellent dossier « Les 7 péchés capitaux de Nicolas Sarkozy » dans la Voix des Français de mars 2006 ( www.vdfr95.com) | |
| | | Kiti Modératrice
Nombre de messages : 0 Age : 44 Date d'inscription : 28/06/2006
| Sujet: Re: Second Tour Sarkozy/Devillepin Sam 15 Juil - 0:53 | |
| Dans une interview au Figaro, Nicolas Sarkozy aggrave son cas auprès de ses électeurs potentiels, et donne raison à ce que dit de lui Philippe de Villiers. Son analyse de la crise du CPE indique bien les limites de la "rupture" qu'il prétend incarner :
Principe N° 1 : Plutôt que risquer une nouvelle affaire Malik Oussekine, toujours céder à la rue.
Ne craignez-vous pas qu'une partie de l'électorat vous reproche d'avoir capitulé, comme beaucoup de gouvernements de droite depuis vingt-cinq ans ?
[...] Nos électeurs les plus fermes à droite veulent qu'on ne cède pas à la rue, et ils ont raison. Mais ils voulaient aussi que la pagaille s'arrête et qu'on ne se retrouve pas avec une nouvelle affaire Malik Oussekine, qui aurait conduit au désastre. Je ne suis pas là pour faciliter la tâche de la gauche. Or j'affirme que cela aurait été un cadeau à la gauche, que de lui donner un espace, que de vouloir imposer une réforme qui n'était pas perçue par les Français comme juste.
Principe N° 2 : Thatcher avait tort : il ne faut jamais réformer si le MEDEF et les syndicats "réformistes" sont contre.
Est-ce une façon de dire que vous n'avez jamais approuvé le CPE ?
Pourquoi faudrait-il, parce qu'on est de droite, défendre un dispositif qui avait fini par n'être ni voulu par les chefs d'entreprise ni accepté par les syndicats réformistes. Quand on a la CGC sur la même ligne que la CGT, on ne peut que s'interroger sur la méthode et sur le fond. C'est ce que nous avons fait. Qui peut me le reprocher ?
Principe N° 3 : Plus un mouvement est manipulé par des extrémistes violents, plus il faut s'empresser de céder.
Pourquoi alors a-t-il fallu autant de temps pour sortir de la crise ?
[...] En tant que ministre de l'Intérieur, j'étais bien placé pour disposer d'informations sur la radicalisation du mouvement. Cela m'a alerté et inquiété. Il fallait que les étudiants et les lycéens reprennent leurs cours. Il fallait vite en sortir. | |
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