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Un forum politique de Soutien à Nicolas Sarkozy
 
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 Second tour Sarko/Vanzetti

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5 participants

Dans ce cas :
Sarko
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 75% [ 15 ]
Vanzetti
Second tour Sarko/Vanzetti Vote_lcap25%Second tour Sarko/Vanzetti Vote_rcap
 25% [ 5 ]
Joan Baez
Second tour Sarko/Vanzetti Vote_lcap0%Second tour Sarko/Vanzetti Vote_rcap
 0% [ 0 ]
Total des votes : 20
 

AuteurMessage
Sigurd
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Sigurd


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MessageSujet: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyVen 3 Fév - 23:37

[center]Here's to you, Nicolas and Bart,

Rest forever here in my heart,

The last and final moments is yours

That agony is your triumph.

[/center]
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saco
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 4 Fév - 1:18

je vote nicolas sacco...

bien à vous,

saco (par respect!)
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ancmembr
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyLun 6 Fév - 0:31

Sarko


Par respect aussi !
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saco
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyLun 6 Fév - 12:28

Tu ne peux pas comparé un anarchiste à un arriviste... !!!
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Sigurd
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Sigurd


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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyLun 6 Fév - 13:47

Mais on a censuré mon post...
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saco
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyLun 6 Fév - 18:16

Tu connais l'histoire de Nicolas Sacco et de Bart Vanzetti en dehors de la chanson de Joan Baez?

bien à toi,

sacco
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Alexandre
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Alexandre


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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyLun 6 Fév - 22:40

[quote:98e0="Sigurd"]Mais on a censuré mon post... :affraid:[/quote]

Non
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Sigurd
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Sigurd


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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyMar 7 Fév - 6:01

Il y avait quatre options :

- Sarko
- Vanzetti
- Joan Baez
- Joan ne baise pas
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Alexandre
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyMar 7 Fév - 12:47

[quote] Joan ne baise pas[/quote]
Non respect du réglement
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saco
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyMar 7 Fév - 19:14

C'est un peu du "politiquement correct" Alexandre... Mais bon restons courtois et pensons qu'il y a des jeunes jouvencelles et jouvenceaux sur ce forum. Peut-être certains ont-ils eu une éducation très stricte en cette période de babacoolisme généralisé?
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Alexandre
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyMar 7 Fév - 21:06

Pour maintenir un espace de débat comme le notre, le réglément et là pour cela. Libre à vous de le respectez ou pas. Libre à vous aussi d'en payer les conséquences.
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyDim 5 Mar - 18:51

Stop aux balivernes quand Nicolas Sarkozy est en jeu!!!!!!

Je vote Sarko of course!
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Panda
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyDim 12 Mar - 14:48

je vote donc Sarko car je ne connais pas les autres !
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Martin
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptyVen 14 Juil - 23:20

Sarkozy se veut reconnaissant avec la France
Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident.
Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !)
Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ?

Tignous - Charlie Hebdo
Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique

publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(8) Trackback(0) Recommander
Dimanche 02 Juillet 2006
Sarkozy c'est Chirac ... en pire
Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones.
Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ...
Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez).
Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable !
Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner !
Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras :
-----------------------------------------------
Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher
LE MONDE | 01.07.06 | 13h12

Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal."
L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger."
L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale."
Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac.
Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture".
Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire.
Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux.
Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal !
Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme.
--------------------------------------------
Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ?
Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet.
Fermez le ban
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publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(32) Trackback(0) Recommander
Samedi 01 Juillet 2006
Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6)
Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire.
Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue.
Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles.
Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée.
Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?).
Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation.
C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles.
Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire.
--------------------------------------------
Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques
LE MONDE | 30.06.06 | 14h05
Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial
Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana.
Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans."
Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer."
C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre.
Philippe Ridet
------------------------------------------
Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5
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Vendredi 30 Juin 2006
Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants
Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ...
Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant.
Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers.
Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ?

Cabu - 31.05.2006
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Jeudi 22 Juin 2006
Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même
Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire.
Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait).
"La France aime la, ou quitte la"
La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen"
Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition.
Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! )
Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre !
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Martin
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:00

Le problème Sarkozy
mercredi 29 mars 2006
Sarkozy l'Imposteur, les couillons et les révolutionnaires
Par Jean-Christophe Mounicq

La veille du jour où bandes ethniques et hordes barbares s'apprêtent à fondre sur Paris et les principales villes de France pour saccager, piller et frapper les honnêtes gens, le ministre de l'Intérieur, que d'aucuns imagineraient surmené, prend le temps de lancer sa campagne présidentielle dans un grand meeting à Douai. A chacun ses priorités. Certains fantasment sur un Sarkozy obsédé par la sécurité et l'ordre. Nicolas Sarkozy, lui, fantasme sur la présidence de la République. Pas seulement quand il se rase le matin, aime-t-il répéter. La décence conduirait à attendre que la France cesse de donner l'image dévastatrice d'un pays au bord du chaos aux médias de la planète. La conscience professionnelle commanderait de réussir à son poste de ministre, en rétablissant l'ordre et la sécurité en France, avant de rêver de fonctions plus hautes. « Sarko » ne connaît pas ce type de pudeur.

Le petit Nicolas sait que son bilan de ministre de l'Intérieur, avec des banlieues en situation insurrectionnelle, est bien plus catastrophique que ses pourtant déjà mauvais bilans de ministre de l'Economie dans le gouvernement Raffarin ou de secrétaire d'Etat au Budget dans celui de Balladur. Il sait aussi, en vieux politicard du système, pouvoir compter sur les medias complices pour ne pas évoquer les choses qui fâchent. Les journalistes ne chercheront pas davantage de vrais poux sur la tête de M. Sarkozy que sur celle de M. Fabius ou de Mme Royal. Ainsi va la vie politique en France, avec ses médias aux ordres, souvent menteurs par omission et de plus en plus souvent appelés « merdias » sur internet.

Les éditorialistes étrangers évoquent un destin à l'Argentine pour une France asphyxiée par son Etat-providence, toute aussi incapable de contenir l'explosion de ses dettes que de relancer sa machine économique. Les télévisions du monde montrent une France peuplée de Barbares qui enflamment les banlieues des trois cent plus grandes villes quand ils n'attaquent pas les trains. Les barbares tuent. Ils tuent Jean-Claude Irvoas parce qu'il prend une photo d'un réverbère, tuent Jean-Jacques Le Chenadec parce qu'il éteint un feu de poubelle, torturent Ilan Halimi parce qu'il est Juif et que sa communauté doit payer, percutent et laissent mourir Raphaël Clin parce qu'il est gendarme.

Le ministre de l'Intérieur laisse s'installer l'ordre des Barbares et entame sa campagne de présidentiable. Il se présente en sauveur providentiel et en extra-terrestre tombé du ciel. Il va jusqu'à faire supprimer toute référence à l'UMP lors de son meeting. Comme s'il n'était pas le président du parti qui a dirigé sans partage la France depuis bientôt quatre ans. Comme s'il n'avait aucune responsabilité dans le marasme économique et sécuritaire de notre pays.

Sarko sait que journalistes et gauchistes le traiteront toujours de libéral conservateur tendance fasciste et que son électorat s'y laissera prendre comme il s'est laissé prendre avec Giscard ou Chirac. En bon radical socialiste, le ministre de l'Intérieur n'hésitait pas à faire ses déclarations de foi pro-immigrationniste (1). Il a mis ses actes en conformité (2). Il multiplie les circulaires aux préfets pour demander de la complaisance à l'égard des immigrés illégaux, octroie des titres de séjour aux immigrés illégaux de Sangatte, décuple le quota de visas aux Algériens. Il relance l'immigration, reconnaît officiellement et sponsorise une organisation proche des « Frères musulmans » l'UOIF, fait interdire l'expulsion hors de France des délinquants étrangers, proclame sa volonté de donner aux immigrés des droits et avantages particuliers dont seront privés les Français de souche avec la discrimination positive, et promet le droit de vote des immigrés aux élections locales.

Les 200 000 couillons de l'UMP qui aiment ce chef qui ruine et coule la France en redemandent. Devant 3000 d'entre eux, il vient d'expliquer sa méthode pour réformer notre modèle économique et social : « La « rupture » comme projet, le « compromis » comme méthode », titre le Figamonde dans sa version du matin ; en « prônant le dialogue social » précise la version du soir. Ce seront donc les syndicats de fonctionnaires qui diront jusqu'où la réforme peut aller. Et ce sera nulle part. « La rupture par le compromis » est promise aux cons. Sarkozy rejoue le coup de Raffarin aux égoïstes, aux satisfaits, aux profiteurs et aux débiles qui ne manqueront pas de voter pour lui. Quant aux autres, ils sont les bienvenus pour venir gonfler les rangs des révolutionnaires bleus qui seuls réclament la tolérance zéro pour remettre de l'ordre et la réduction des impôts pour relancer l'économie.

1. cf. Libération du 23 décembre 2005 ou « 100 minutes pour convaincre » du 9 décembre 2002 sur France 2

2. cf. l'excellent dossier « Les 7 péchés capitaux de Nicolas Sarkozy » dans la Voix des Français de mars 2006 (www.vdfr95.com)
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Kiti
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:04

Dans un communiqué, l’UMP a annoncé au détour d’une décision portant sur la désignation de 30% de candidatures féminines pour les législatives de 2007, que "pour ce qui concerne la diversité" le parti de Nicolas Sarkozy entend "dépasser l’objectif de 20 candidats titulaires" à la députation, et d’un nombre équivalent en suppléants.

Ainsi, "l’UMP pourra, aux prochaines élections législatives, contribuer à permettre qu’enfin l’Assemblée nationale ouvre ses portes à la diversité française, en dehors de nos élus d’Outre-mer", affirme le communiqué du premier parti de France, qui confirme, selon via resistancia, les informations obtenues l’an passé faisant état d’un accord confidentiel entre l’UMP, l’UDF et le PS pour assurer l’élection d’au moins une trentaine de députés musulmans dits "de diversité" lors des prochaines législatives de 2007."

Choisis pour être élus non pas pour leur compétence mais pour leur religion. Si cette information est exacte, elle confirme la volonté de Nicolas Sarkozy de favoriser le communautarisme.
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Martin
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:06

Le problème Sarkozy
mercredi 29 mars 2006
Sarkozy l'Imposteur, les couillons et les révolutionnaires
Par Jean-Christophe Mounicq

La veille du jour où bandes ethniques et hordes barbares s'apprêtent à fondre sur Paris et les principales villes de France pour saccager, piller et frapper les honnêtes gens, le ministre de l'Intérieur, que d'aucuns imagineraient surmené, prend le temps de lancer sa campagne présidentielle dans un grand meeting à Douai. A chacun ses priorités. Certains fantasment sur un Sarkozy obsédé par la sécurité et l'ordre. Nicolas Sarkozy, lui, fantasme sur la présidence de la République. Pas seulement quand il se rase le matin, aime-t-il répéter. La décence conduirait à attendre que la France cesse de donner l'image dévastatrice d'un pays au bord du chaos aux médias de la planète. La conscience professionnelle commanderait de réussir à son poste de ministre, en rétablissant l'ordre et la sécurité en France, avant de rêver de fonctions plus hautes. « Sarko » ne connaît pas ce type de pudeur.

Le petit Nicolas sait que son bilan de ministre de l'Intérieur, avec des banlieues en situation insurrectionnelle, est bien plus catastrophique que ses pourtant déjà mauvais bilans de ministre de l'Economie dans le gouvernement Raffarin ou de secrétaire d'Etat au Budget dans celui de Balladur. Il sait aussi, en vieux politicard du système, pouvoir compter sur les medias complices pour ne pas évoquer les choses qui fâchent. Les journalistes ne chercheront pas davantage de vrais poux sur la tête de M. Sarkozy que sur celle de M. Fabius ou de Mme Royal. Ainsi va la vie politique en France, avec ses médias aux ordres, souvent menteurs par omission et de plus en plus souvent appelés « merdias » sur internet.

Les éditorialistes étrangers évoquent un destin à l'Argentine pour une France asphyxiée par son Etat-providence, toute aussi incapable de contenir l'explosion de ses dettes que de relancer sa machine économique. Les télévisions du monde montrent une France peuplée de Barbares qui enflamment les banlieues des trois cent plus grandes villes quand ils n'attaquent pas les trains. Les barbares tuent. Ils tuent Jean-Claude Irvoas parce qu'il prend une photo d'un réverbère, tuent Jean-Jacques Le Chenadec parce qu'il éteint un feu de poubelle, torturent Ilan Halimi parce qu'il est Juif et que sa communauté doit payer, percutent et laissent mourir Raphaël Clin parce qu'il est gendarme.

Le ministre de l'Intérieur laisse s'installer l'ordre des Barbares et entame sa campagne de présidentiable. Il se présente en sauveur providentiel et en extra-terrestre tombé du ciel. Il va jusqu'à faire supprimer toute référence à l'UMP lors de son meeting. Comme s'il n'était pas le président du parti qui a dirigé sans partage la France depuis bientôt quatre ans. Comme s'il n'avait aucune responsabilité dans le marasme économique et sécuritaire de notre pays.

Sarko sait que journalistes et gauchistes le traiteront toujours de libéral conservateur tendance fasciste et que son électorat s'y laissera prendre comme il s'est laissé prendre avec Giscard ou Chirac. En bon radical socialiste, le ministre de l'Intérieur n'hésitait pas à faire ses déclarations de foi pro-immigrationniste (1). Il a mis ses actes en conformité (2). Il multiplie les circulaires aux préfets pour demander de la complaisance à l'égard des immigrés illégaux, octroie des titres de séjour aux immigrés illégaux de Sangatte, décuple le quota de visas aux Algériens. Il relance l'immigration, reconnaît officiellement et sponsorise une organisation proche des « Frères musulmans » l'UOIF, fait interdire l'expulsion hors de France des délinquants étrangers, proclame sa volonté de donner aux immigrés des droits et avantages particuliers dont seront privés les Français de souche avec la discrimination positive, et promet le droit de vote des immigrés aux élections locales.

Les 200 000 couillons de l'UMP qui aiment ce chef qui ruine et coule la France en redemandent. Devant 3000 d'entre eux, il vient d'expliquer sa méthode pour réformer notre modèle économique et social : « La « rupture » comme projet, le « compromis » comme méthode », titre le Figamonde dans sa version du matin ; en « prônant le dialogue social » précise la version du soir. Ce seront donc les syndicats de fonctionnaires qui diront jusqu'où la réforme peut aller. Et ce sera nulle part. « La rupture par le compromis » est promise aux cons. Sarkozy rejoue le coup de Raffarin aux égoïstes, aux satisfaits, aux profiteurs et aux débiles qui ne manqueront pas de voter pour lui. Quant aux autres, ils sont les bienvenus pour venir gonfler les rangs des révolutionnaires bleus qui seuls réclament la tolérance zéro pour remettre de l'ordre et la réduction des impôts pour relancer l'économie.

1. cf. Libération du 23 décembre 2005 ou « 100 minutes pour convaincre » du 9 décembre 2002 sur France 2

2. cf. l'excellent dossier « Les 7 péchés capitaux de Nicolas Sarkozy » dans la Voix des Français de mars 2006 (www.vdfr95.com)
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Kiti
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:06

Sarkozy organise clandestinement l’immigration de peuplement

La “vérité nous rendra libre”, mais la vérité n’est pas connue. En 2005, 169.000 étrangers ont acquis la nationalité française, record historique des naturalisations.

Depuis 2002, qui a vu la victoire présidentielle du candidat du Front “Républicain” (sic) contre le candidat du Front National et la victoire de l’anti-France contre la France, l’immigration légale et les naturalisations sont en progression accélérée. Plus de 200.000 entrées légales par an ces dernières années.

Et pendant ce temps là, Sarkozy fait croire au pays qu’il combat l’immigration clandestine. Le champion du double langage et des faux semblants vient pourtant de se prendre les pieds dans le tapis de sa démagogie et de ses mensonges. En annonçant la régularisation des clandestins ayant un enfant scolarisé, le ministère de l’intérieur parlait de 2500 cas à traiter. La presse parle aujourd’hui de 10.000, et au regard des files d’attente devant toutes les préfectures de France, on voit bien qu’il s’agit certainement de beaucoup plus.

Grâce à Sarkozy, on connait maintenant la bonne méthode pour obtenir une régularisation non pas au “au cas par cas”, mais dans tous les cas. Ne venez pas seul en France, mais en famille, et veillez bien à scolariser immédiatement les enfants.

Immigration légale massive, naturalisations massives et régularisations massives des clandestins par voie scolaire : On ne sait pas ce que la France a fait à Sarkozy et à sa famille pour qu’il s’acharne ainsi à la désintégrer. Mais il s’y active !
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Martin
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:08

Démasquer

L'imposteur de la République

Le flamboyant incapable
Il est dynamique, boulimique, plein d'idées clinquantes mais c'est un piètre stratège. En 1995, à la recherche des vents porteurs, il joue Balladur contre Chirac. Perdu. Parvenu au ministère de l'Intérieur, il flatte et multiplie policiers et gendarmes, atteint son objectif : faire baisser rapidement (les chiffres de) la délinquance. Il embraye alors sur un référendum en Corse… Re-perdu. Devenu président de l'UMP, il mène la campagne du parti pour le OUI à la constitution européenne. Re-re-perdu.

Comment peut-on croire sérieusement qu'il pourrait un jour faire les bons choix pour la France ?

Moi, moi et moi

On connaissait sa capacité à critiquer son propre camp pour se faire valoir. La campagne référendaire a une fois de plus montré l'homme tel qu'il est. Dès le début (100 minutes pour convaincre, sur France 2), alors que le OUI s'effrite déjà, il ne parle que de lui-même, lui en 2007, lui contre Chirac, lui président, lui. Discret quand le NON est au plus haut, on le voit de nouveau quand le OUI remonte. Et quand l'affaire tourne au fiasco, il est le premier à jeter l'éponge (à laisser dire qu'il a dit que c'était râpé), pour ré-embrayer sur son inépuisable programme présidentiel : " je l'avais bien dit, il faut tout changer !"
Il est prêt à jouer les sauveurs d'un camp qu'il a sciemment laissé couler, qu'il s'est finalement réjoui de voir couler, puisque le naufrage était plus préjudiciable au président qu'à lui. A peine réinstallé au gouvernement, et après avoir bien fait sentir qu'il n'était pas un ministre ordinaire, il fait dire qu'il "prendra l'air" fin 2006 pour préparer la présidentielle. N'oublions pas de lui rappeler ses ECHECS, quand sa logohrrée offre quelque répit, bien sûr.

L'américain

Comme tous les cabris de la modernité, Nicolas Sarkozy est fasciné par l'Amérique et ses paillettes. Favorable à la discrimination positive, il ne cache pas son goût pour le communautarisme, un rapport de forces tellement plus facile à gérer que l'hamonie de la société, une compétition tellement saine. Posant pour les magazines à la mode Kennedy, il fustige la vieille Europe et ces rigidités, fait aussi, à mots à peine couverts, l'apologie de l'Angleterre et de son taux de chômage racoleur.

"le meilleur modèle social, c'est celui qui donne du travail à chacun. Ce n'est donc plus, hélas, le nôtre avec trois millions de chômeurs. Ce n'est pas faire du mimétisme idéologique que de vouloir s'inspirer de ceux qui, en Europe, ont su trouver le plein-emploi et de vouloir tourner le dos aux méthodes de ceux qui n'en finissent pas de s'enfoncer dans le chômage de masse. C'est au contraire de l'aveuglement idéologique que de refuser à notre pays ce qui se fait ailleurs."
Le taux d'humanité, c'est autre chose : on ne peut pas s'intéresser à tout. Haro donc sur le code du travail : tout pour la quantité d'emploi, pour le chiffre ; rien pour la qualité, pour la vie des gens.

Le pompier pyromane.

A peine revenu Place Beauvau, Nicolas Sarkozy s'est de nouveau lancé dans la surenchère sécuritaire qui lui avait si bien réussi en 2002. Pendant la campagne, on sème la peur, après la campagne, on dit qu'on va y remédier : policiers, fichiers, contrôles, tout y passe. Ne sachant pas, lui non plus, quoi faire du résultat du référendum, Nicolas Sarkozy détourne l'attention sur un sujet consensuel, comme Dominique De Villepin sur le chômage.
Comme il est plus facile d'augmenter le nombre de charters de clandestins que de baisser le nombre de chômeurs, c'est une stratégie qui n'a que des avantages : apparaître comme le bon élève qu'on ne laisse pas donner toute sa mesure...et faire de l'oeil à l'électorat frontiste.

C'est là d'ailleurs l'aspect le plus nauséabond de sa stratégie : lier indirectement le chômage à l'immigration clandestine, en affichant une préférence pour l'immigration choisie en fonction des besoins de l'économie, laisser entendre (sans jamais le dire) que l'insécurité et l'immigration ne sont pas étrangères l'une à l'autre, utiliser le fantasme des étrangers qui se ressemblent tous (et qui abusent des largesses sociales) pour justifier le fichage de la population. Cet homme est dangereux, il ne faut pas le lâcher. .
Réfléchissez avant d'applaudir !

9 juin 2005. Après la priorité absolue sur l'emploi déclamée par Dominique de Villepin à l'assemblée... et toute la lumière qu'elle a jeté sur l'orateur, le Sous-Premier-Ministre Sarkozy ne pouvait pas rester dans l'ombre bien longtemps. Il a lui aussi le droit de répondre n'importe quoi au scrutin du 29 mai : il a donc fixé comme objectif de doubler le nombre de "charters" de clandestins affrétés, et a décidé qu'il serait établi des quotas d'immigration "choisie", métier par métier, comme... au Canada (Aux Etats-Unis aussi ? ah bon...).
Le rapport avec le traité européen ? Mais il est évident, on n'a pas compris, c'est tout.

14 juin 2005 : Précipitation. Le 10 juin était retrouvé le corps de Nelly Crémel, assassinée le 2 juin, alors qu'elle faisait son jogging. Cette affaire,particulièrement sordide (butin : 20 euros), a suscité une légitime émotion dans la population. Pour autant, fallait-il que le Ministre de l'Intérieur se précipite pour l'exploiter à son profit, pour alimenter le mythe de son exceptionnelle réactivité ?
Les deux suspects de l'affaire sont mis en examen le 14 juin. L'un d'eux est un criminel récidiviste, 12 condamnations, condamné à perpétuité en 1990 et en liberté conditionnelle depuis 2003. Le jour même, à l'assemblée, le surdoué sous-Premier Ministre, après une dramatisation un peu facile, voire populiste (J'ai reçu ce matin M. Christian Crémel, qui a vu sa femme partir pour faire son jogging et qui n'est jamais revenue), annonce des propositions sur la multirécidive pour le 14 juillet !
Un mois à peine. Est-ce vraiment suffisant pour un dossier aussi complexe ? Sauf à rétablir la peine de mort ou à appliquer stricto sensu la perpétuité, la récidive et la multi-récidive resteront le risque choisi d'une société qui a confiance en l'Homme. De toutes façons, les juges aggravent déjà progressivement les peines pour répondre à la récidive.
La justice mérite un peu de recul. D'ailleurs, dans l'entourage du ministre de la Justice, on estime (fort heureusement) que le dossier Crémel ne peut pas justifier à lui seul de nouvelles modifications législatives. L'agitation coutumière de Nicolas Sarkozy montre encore une fois ses limites, et cache mal un échec de sa politique sécuritaire tape-à-l'œil : malgré son action énergique et celle, non moins énergique, de Dominique de Villepin, en France on ne peut toujours pas faire du jogging en toute sécurité…
Décidément, dans le rôle du " récupérateur de cadavres ", je préfère Boris Karloff…
Dernière minute : Selon un article du Monde.fr, Annie Kensey, chargée de mission à l'administration pénitentiaire, et Pierre Tournier, criminologue enseignant à l'université Paris-I s'apprêtent à publier un rapport qui évalue à 0,5 % le taux de récidive criminelle des meurtriers ! Alors, même si on devient très bons dans ce domaine...

14 juin 2005. Contre une attaque bien menée, N. Sarkozy n'est pas plus malin qu'un autre : il répond par des banalités peu convaincantes. Lire le compte-rendu d'un échange avec A. Montebourg.
20 juin 2005. Récupération. Après la mort par balle d'un jeune garçon de 11 ans dans la cité des 4000, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Nicolas Sarkozy s'est précipité sur place pour dire (devant des caméras qui devaient se trouver là par hasard) qu'on allait "nettoyer La Courneuve". Employant le terme désuet de "voyous" pour plaire au bon peuple, il promet même la rédemption pour les brebis égarées "Et ceux qui veulent s'en sortir, je les aiderai" Bref, de son aveu même, une grosse descente de police en perspective, bien voyante, bien superficielle. Cette volonté compulsive de se faire passer pour quelqu'un qui réagit immédiatement et avec beaucoup d'efficacité et de pragmatisme et qui fait ce que les gens veulent, ça donne le tournis, et au bout du tournis, il y a la nausée..

22 juin 2005. Ligne jaune. S'adressant à une assemblée de gendarmes, Nicolas Sarkozy affirme que le juge qui a remis en liberté le meurtrier présumé de Nelly Crémel doit "payer sa faute". Dans sa frénésie d'emportement populaire, il demande une sanction contre le magistrat "qui a osé remettre un monstre pareil en liberté" et en oublie au passage qu'il s'agit de décisions collégiales (à moins qu'il ne l'ait jamais su...) Malgré une (molle) mise au point du Garde des Sceaux sur la légalité incontestable de la décision, il persiste dans le populisme : à l'Assemblée, il revendique sa proximité avec le peuple, un langage commun. Son agence de communication a dû lui lui dire que le vote du 29 mai était un rejet des élites, car maintenant il ne les aime plus.
L'électorat du Front national est décidément apétissant..., les méthodes promo-provocatrices de son patron... contagieuses.
Si le premier ministre et le président de la République ont rappelé eux aussi le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs (encore un oubli de Nicolas-le-surdoué...), ils n'ont pas eu le courage de dire au ministre de l'Intérieur de se calmer ; mieux, l'un comme l'autre en appellent à une révision des lois sur la récidive et la liberté conditionnelle : après le meutre de l'étudiante de Tours, une loi sur le dépit amoureux semble donc indispensable. « Un fait divers, une loi », l'action selon Sarkozy...
27 juin 2005. Nouvelle loi en vue... Alors qu'un vice de procédure a permis la remise en liberté d'une quinzaine de caïds grenoblois, le commentateur en chef des décisions de justice, autoproclamé thermomètre du peuple, sent monter la juste colère des gens ordinaires... Une loi "anti vices de forme" va sûrement venir enrichir le catalogue des mesures musclées du candidat Sarkozy. Quel homme !
Rappel : En ce qui concerne le commentaire des décisions de justice, l'article 434-25 du Code Pénal dispose : Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l'autorité de la justice ou à son indépendance est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende.
Monsieur Sarkozy montre l'exemple... de l'impunité : n'y a-t-il donc personne pour le traîner en justice comme un vulgaire citoyen ?

30 juin 2005. Populiste, moi ? Dans une interview au Figaro, le sous-premier ministre déclare :"Aujourd'hui, un étranger en situation irrégulière a plus de droit aux soins gratuits qu'un smicard qui paie ses cotisations, ce n'est pas acceptable! Nous allons revoir tout cela par des décrets et, s'il le faut, par la loi". Il aurait pu remplacer "étranger en situation irrégulière" par "SDF français", c'était tout aussi vrai : la couverture médicale universelle (CMU pour Français et étrangers en situation régulière), comme l'aide médicale d'état (AME, pour les étrangers en situation irrégulière) ne sont faites QUE pour les gens sans ressources, et les smicards (malgré leur situation quotidienne difficile) ne sont pas sans ressouces. Ah, l'Etranger qui prend le travail des Français, l'Etranger qui vient profiter du système social Français et se tourner les pouces, l'Etranger assassin, violeur, lâche et traître...
Notre présidentiable professionnel prétend déjà "avoir" l'électorat du Front National : visiblement, il tient à le garder !

6 juillet. Cracher dans la soupe par procuration. Alors que Londres vient d'être choisie pour les JO 2012, Yves Jego, proche de Nicolas Sarkozy, déclare sur France-Info : «Il faudra tirer les conséquences politiques de tout ça, aussi bien pour le président de la République que pour tous ceux qui ont participé à cette opération». La grande classe...

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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:11

------------------------------------------------------------------------9 novembre. Pensant que les imbéciles que nous sommes ont oublié son rôle désastreux dans l'embrasement des banlieues, il tente de reprendre la main avec son petit couplet "fermeté et virilité" : "J'ai demandé aux préfets que les étrangers, qui sont en situation régulière ou irrégulière, qui ont fait l'objet d'une condamnation, soient expulsés sans délai de notre territoire, y compris ceux qui ont un titre de séjour"  Voici donc le quasi-droitdelhommiste qui, la main sur le coeur, promettait hier encore d'en finir avec la double peine, qui reprend aujourd'hui sa pêche intensive aux voix du Front National. Il ne sait plus quoi faire pour exister le malheureux...
7 décembre. L'homme n'aime pas la contradiction, l'homme fuit la contradiction, il préfère parler tout seul devant des caméras. Sachant qu'il va être reçu comme un chien dans un jeu de quilles, rejeté par Aimé Césaire, le sous-premier-ministre reporte son voyage aux Antilles.
"Les conditions de sérénité d'un travail collectif nécessaire pour traiter efficacement des questions fondamentales pour les Antillais que sont la sécurité, le développement économique et l'emploi ne me paraissent pas (...) aujourd'hui réunies", a-t-il constaté. "J'ai par conséquence décidé de reporter mon voyage de quelques semaines"
Dommage, on aurait aimé l'entendre parler de la racaille qu'il faut nettoyer au Kärcher, bref d'illustrer une fois de plus le rôle positif de la France outre-mer (marque déposée)
7 décembre, toujours (mauvaise journée décidément). Les renseignements généraux démontent le péplum sarkozien des banlieues manipulées par des bandes mafieuses, et lui substitue la réalité d'une révolte populaire toute bête. Bref, ce serait juste de l'ingratitude à l'égard des ancêtres politiques de l'actuel ministre de l'intérieur, qui du temps où ils étaient toujours aux affaires, avaient construit des quartiers qui étaient quand même bien* pour les pauvres (avant que les noirs et les Arabes ne fassent fuir les Français, bien sûr). 
Le rapport souligne l'absence de caïds ou encore d'intégristes manipulant les émeutiers. Le mouvement "s'apparente à une révolte populaire des cités", mais n'était ni organisé, ni manipulé. La France aurait basculé de "la guérilla urbaine" à "l'insurrection urbaine" et les violences seraient dues à la condition sociale des émeutiers et non à leur origine ethnique ou géographique. Le rapport précise même que "restreindre les derniers événements à de simples violences urbaines serait une erreur d'analyse".
On ne peut vraiment plus compter sur personne... pôôôôvre Nicolas !
(*)Le fait que les architectes et leurs commanditaires n'aient jamais habité là (même avant que les noirs...etc...) s'appelle... une coïncidence !
Debut 2006...
... nouvel avatar de la sarkozysation de la société
Février 2006 : rien ne résiste à l'omniscience du visionnaire. Nicolas Sarkozy s'attaque à l'école sclérosée pour lui insuffler une vraie modernité :casser la carte scolaire pour permettre aux blancs de choisir leurs écoles et éviter celles où il y a de la racaille... et ainsi faire enfin bénéficier la France du summum de la civilisation américaine, le communautarisme. Ajoutons à cela la compétition entre établissements et le salaire des enseignants au mérite....
Bref, monter les gens les uns contre les autres, mettre la France en pilotage automatique, ravager au nom de la réforme-panacée, démissionner au nom de la libéralisation : comment peut-il encore faire illusion ?
8 mars 2006 : cracher dans la soupe, toujours. Le CPE n'est pas populaire, qu'à cela ne tienne : Sarkozy fait donner ses porte-glaviots (De Charette et Devedjian) pour assurer ses arrières (si nécessaire, il dira "on l'avait bien dit") et savonner la planche de De Villepin. Mais où est donc la fameuse "rupture" du surdoué ? Ses méthodes abjectes sentent plutôt le réchauffé...
17 mars : comme cela ne suffit pas, Devedjian remet le couvert dans une interview Radio-Notre-Dame/La croix.  C'est un bouquet de poignards dans le dos : "...Le premier ministre a fait un choix un peu aventureux avec le CPE", puis "...on aurait sans doute fait autrement si Nicolas Sarkozy avait conduit la politique du pays. Mais quand on est sur le même bateau, on suit les instructions du capitaine. Je n'aime pas les déserteurs. Le capitaine a fait un choix un peu aventureux mais nous sommes solidaires", puis encore..."nous (les sarkozystes) ne sommes philosophiquement pas favorables au CPE en soi". C'est une décision que "nous soutenons par solidarité ministérielle et par pragmatisme (...) C'est le choix du gouvernement. Ce n'est peut-être pas une mauvaise solution mais nous sommes plutôt pour un contrat de travail unique et progressif"
27-28-29 mars : à l'occasion du conflit sur le CPE, le show du traître atteint des sommets qui valent bien une page spéciale...
A suivre... n'en doutons pas
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alors que le trou-du-cul de la place beauvau,
il est tout le temps à la télé...
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MessageSujet: Re: Second tour Sarko/Vanzetti   Second tour Sarko/Vanzetti EmptySam 15 Juil - 0:55

Dans une interview au Figaro, Nicolas Sarkozy aggrave son cas auprès de ses électeurs potentiels, et donne raison à ce que dit de lui Philippe de Villiers. Son analyse de la crise du CPE indique bien les limites de la "rupture" qu'il prétend incarner :

Principe N° 1 : Plutôt que risquer une nouvelle affaire Malik Oussekine, toujours céder à la rue.

Ne craignez-vous pas qu'une partie de l'électorat vous reproche d'avoir capitulé, comme beaucoup de gouvernements de droite depuis vingt-cinq ans ?

[...] Nos électeurs les plus fermes à droite veulent qu'on ne cède pas à la rue, et ils ont raison. Mais ils voulaient aussi que la pagaille s'arrête et qu'on ne se retrouve pas avec une nouvelle affaire Malik Oussekine, qui aurait conduit au désastre. Je ne suis pas là pour faciliter la tâche de la gauche. Or j'affirme que cela aurait été un cadeau à la gauche, que de lui donner un espace, que de vouloir imposer une réforme qui n'était pas perçue par les Français comme juste.

Principe N° 2 : Thatcher avait tort : il ne faut jamais réformer si le MEDEF et les syndicats "réformistes" sont contre.

Est-ce une façon de dire que vous n'avez jamais approuvé le CPE ?

Pourquoi faudrait-il, parce qu'on est de droite, défendre un dispositif qui avait fini par n'être ni voulu par les chefs d'entreprise ni accepté par les syndicats réformistes. Quand on a la CGC sur la même ligne que la CGT, on ne peut que s'interroger sur la méthode et sur le fond. C'est ce que nous avons fait. Qui peut me le reprocher ?

Principe N° 3 : Plus un mouvement est manipulé par des extrémistes violents, plus il faut s'empresser de céder.

Pourquoi alors a-t-il fallu autant de temps pour sortir de la crise ?

[...] En tant que ministre de l'Intérieur, j'étais bien placé pour disposer d'informations sur la radicalisation du mouvement. Cela m'a alerté et inquiété. Il fallait que les étudiants et les lycéens reprennent leurs cours. Il fallait vite en sortir.
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