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| Le Pen veut "faire chanter" Barthez | |
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+3Résistance duodénum Alexandre 7 participants | |
Auteur | Message |
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Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Lun 26 Juin - 22:51 | |
| [quote][b][u]Le Pen veut "faire chanter" Barthez[/u]
Source LCI:
Dans un entretien accordé à l'agence Reuters, le président du FN reproche au gardien français de ne pas chanter l'hymne national. Par ailleurs, il estime que "le sélectionneur a exagéré la proportion de joueurs de couleur (...) peut-être qu'il aurait dû garder dans ce domaine-là plus de mesure".[/b]
Quand Jean-Marie Le Pen se fait commentateur de foot, il ne se concentre pas sur les qualités des joueurs mais sur leurs origines ethniques. On ne se refait pas.
A la veille du match contre l'Espagne, le président du FN s'est épanché auprès de l'agence Reuters. "J'ai le sentiment qu'il y a entre la France et cette équipe de France une certaine difficulté d'être", a-t-il affirmé lundi. "On sent que France ne se reconnaît pas totalement dans cette équipe", a-t-il poursuivi avant de s'en prendre aux choix du sélectionneur, Raymond Domenech. "Peut-être que le sélectionneur a exagéré la proportion de joueurs de couleur, peut-être qu'il aurait dû garder dans ce domaine-là plus de mesure, peut-être s'est-il laissé entraîner par ses choix idéologiques", avance-t-il.
"Pas là seulement pour gagner de l'argent"
Jean-Marie Le Pen, qui avait jugé avant le Mondial de 1998, "artificiel que l'on fasse venir des joueurs de l'étranger en les baptisant équipe de France", semble en revanche satisfait de voir aujourd'hui les "Bleus" chanter la Marseillaise. Sauf le gardien Fabien Barthez qui devrait être, selon lui, mis au pied du mur. "Aujourd'hui, il n'y a qu'un seul, ou peut-être deux, qui ne chante pas la Marseillaise, c'est M. Barthez. Et les autres chantent la Marseillaise. Les autres, c'est une équipe nationale, ils sont français. M. Barthez, lui, il est français aussi mais ne chante pas la Marseillaise. Je suis tout à fait choqué par ça", explique-t-il. "On devrait le mettre devant le choix. Quand on est membre d'une équipe nationale, on n'est pas là seulement pour gagner de l'argent, on est là pour représenter son pays", ajoute le président du FN. [/quote]
Lepen pense ce que tous les Français pensent tout bas.. | |
| | | duodénum Sénateur
Nombre de messages : 526 Date d'inscription : 14/02/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 0:17 | |
| Je ne dois pas être français alors, malgré ce qu'en dit mon extrait de naissance. Penser comme cette vieille chiffe, ça me ferait vraiment mal | |
| | | Résistance 1er ministre
Nombre de messages : 466 Localisation : Corse Parti Politique : UMP ? Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 0:34 | |
| C'est sans doute de la discrimination positive avant la lettre !! Mais cela ne représente pas même une France multi culturelle !! | |
| | | duodénum Sénateur
Nombre de messages : 526 Date d'inscription : 14/02/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 0:59 | |
| Le sport, au moins au niveau professionnel, n'est-il pas basé sur la réussite au mérite ? Si ces joueurs sont sur le terrain, il me semble que c'est exclusivement en rapport avec leurs qualités de footeux. | |
| | | Résistance 1er ministre
Nombre de messages : 466 Localisation : Corse Parti Politique : UMP ? Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 1:11 | |
| Bien que je ne sois pas une grande spécialiste , je ne peux pas ignorer les commentaires des " fouteux " qui sont pràs de moi ( et quelques soient leurs opinions politiques , et j'ai appris que les meilleurs ( à part les " anciens " sont loin d'être les meilleurs , même s'il avait voulu ne prendre que des non blancs , il y en avait de meilleurs à choisir .. Seulement , il l'a lui même déclaré , il n'aime pas les joueurs ayant de la personnalité et une " grande gueule " ...Donc il a des nouveaux soumis mais , ....... | |
| | | duodénum Sénateur
Nombre de messages : 526 Date d'inscription : 14/02/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 1:37 | |
| De toute façon, cette équipe me semble bien vieille, il s'agira de la renouveler en prévision de la prochaine coupe du monde, on verra bien ce que donnera le nouveau choix.
Mais je n'arrive pas à m'imaginer l'hypothèse d'un sélectionneur qui ne mettrait pas toutes les chances de son côté, et pratiquerait la discrimination positive par soucis de politiquement correcte. Ou alors la pression politique sur l'entraineur est décidément très forte. | |
| | | Oliv Citoyen
Nombre de messages : 32 Age : 37 Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 3:18 | |
| Je ne suis donc pas francais non plus ? :/ | |
| | | Résistance 1er ministre
Nombre de messages : 466 Localisation : Corse Parti Politique : UMP ? Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 18:45 | |
| Duodénum , et si dans 4 ans on n'a pas mieux , on reprend les mêmes et on recommence !!!!! je crois que les pressions sont trés , trés fortes sur le sélectionneur . | |
| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 19:09 | |
| [quote:35bd="Oliv"]Je ne suis donc pas francais non plus ? :/[/quote]
En tout cas, beaucoups de gens autour de moi penses la même chose...
[i]De gauche comme de droite[/i], Quel est la différence entre le TOGO et la France ? | |
| | | duodénum Sénateur
Nombre de messages : 526 Date d'inscription : 14/02/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mar 27 Juin - 22:56 | |
| Les logos publicitaires sur les maillots, et un gardien français bien blanc qui a été mis en examen récemment pour de vulgaires propos racistes... | |
| | | Oliv Citoyen
Nombre de messages : 32 Age : 37 Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mer 28 Juin - 22:02 | |
| Le pays représenté, la nationalité des joueurs...
C'est quoiu cette question la, quelle différence entre le togo et la france ? quelle différence entre l'allemagne et l'italie alors ? | |
| | | Résistance 1er ministre
Nombre de messages : 466 Localisation : Corse Parti Politique : UMP ? Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mer 28 Juin - 22:08 | |
| [quote="Oliv"]
[quote]C'est quoiu cette question la, quelle différence entre le togo et la france ? quelle différence entre l'allemagne et l'italie alors ?[/quote[/quote]] Ben , elle se voit à l'oeil nu , la différences entre les Allemands et les Italiens , ces derniers sont nettement plus sexy!!!!!!! Il est certain que seule la France , dans l'ensemble des pays européens a réussi à présenter une équipe pratiquement sans blanc !! La seule différence avec les équipes africaines , c'est qu'eux n'acceptent aucun blanc , alors que nous avions Barthez ( qui a été imposé par les anciens , car domenech n'en voulait pas !) | |
| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mer 28 Juin - 23:35 | |
| [quote:240f="Oliv"]Le pays représenté, la nationalité des joueurs...
C'est quoiu cette question la, quelle différence entre le togo et la france ? quelle différence entre l'allemagne et l'italie alors ?[/quote]
Les allemands ont des têtes d'Allemand et les Italiens des têtes d'Italien.. On reconnait. Quand tu vois l'équipe de France, bien que je la soutien, tu ne fais pas la différence entre des Algériens et Barthez.. | |
| | | Oliv Citoyen
Nombre de messages : 32 Age : 37 Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mer 28 Juin - 23:52 | |
| Tu dis que les équipes africaines n'acceptent aucun blanc ?
Nawak, je pense qu'il ya plus de personne de couleur en france que de blanc au ghana
Et puis bon, en quoi sa vous gene ? Si les enfants d'immigrés sont meilleurs que les enfants e francais pure souche, c'est pas notre probleme...
Je dis qu'au moins ça représente la mixité culturelle francaise | |
| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Mer 28 Juin - 23:55 | |
| [quote]Tu dis que les équipes africaines n'acceptent aucun blanc ?[/quote]
Pas du tout | |
| | | Résistance 1er ministre
Nombre de messages : 466 Localisation : Corse Parti Politique : UMP ? Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Jeu 29 Juin - 0:09 | |
| [quote="Oliv"]
[quote]Et puis bon, en quoi sa vous gene ? Si les enfants d'immigrés sont meilleurs que les enfants e francais pure souche, c'est pas notre probleme...[/quote]
Propos racistes anti blancs!!!!
[quote]Je dis qu'au moins ça représente la mixité culturelle francaise [/quote]
Où est la mixité ??? Il n'y a plus de blancs ou de manière quasi infinitésimale :: | |
| | | LibeNico De passage
Nombre de messages : 9 Age : 38 Parti Politique : FN Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 15:52 | |
| Alexandre et Resistance vos propos sont trés juste, au premier rapport vous semblez patiotes, pourquoi ne pas rejoindre l'union patriotique ?
Plus serieusement Barthez préfère chanter l'internationale que la marseillaise... c'est certainement pourquoi il a été préféré à coupet par notre selectionneur bolchévique. | |
| | | Alexandre Président
Nombre de messages : 2554 Age : 37 Parti Politique : U.M.P Candidat : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 16:00 | |
| [quote:ca20="LibeNico"]Alexandre et Resistance vos propos sont trés juste, au premier rapport vous semblez patiotes, pourquoi ne pas rejoindre l'union patriotique ?
Plus serieusement Barthez préfère chanter l'internationale que la marseillaise... c'est certainement pourquoi il a été préféré à coupet par notre selectionneur bolchévique.[/quote]
Pour répondre au début de ton message, je suis libéral à tendance nationaliste. Il y a donc certaines idées de patriote auxquels j'adhère. Et je ne suis pas opposé à un union patriotique, bien que pour le moment ce n'est point ma priorité. Maintenant c'est clair qu'avoir foutu une chevre nommé Barthez dans des buts c'est pas le top. | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 22:26 | |
| [quote:c034="duodénum"]Je ne dois pas être français alors, malgré ce qu'en dit mon extrait de naissance. Penser comme cette vieille chiffe, ça me ferait vraiment mal ;)[/quote]
J'ai un message à te passer de la part de la vieille chiffe : Espèce de trou du cul ! Et tu ne dois pas être français en effet mais une belle sous-merde ! Rien ne peut te faire mal depuis que tu t'es fait casser l'oignon petite tante ! Vu ? | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 22:38 | |
| Sarkozy se veut reconnaissant avec la France Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident. Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !) Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ? Tignous - Charlie Hebdo Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(8) Trackback(0) Recommander Dimanche 02 Juillet 2006 Sarkozy c'est Chirac ... en pire Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones. Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ... Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez). Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable ! Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner ! Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras : ----------------------------------------------- Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher LE MONDE | 01.07.06 | 13h12 Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal." L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger." L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale." Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac. Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture". Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire. Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux. Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal ! Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme. -------------------------------------------- Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ? Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet. Fermez le ban Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(32) Trackback(0) Recommander Samedi 01 Juillet 2006 Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6) Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire. Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue. Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles. Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée. Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?). Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation. C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles. Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire. -------------------------------------------- Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques LE MONDE | 30.06.06 | 14h05 Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana. Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans." Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer." C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre. Philippe Ridet ------------------------------------------ Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(21) Trackback(0) Recommander Vendredi 30 Juin 2006 Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ... Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant. Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers. Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ? Cabu - 31.05.2006 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(16) Trackback(0) Recommander Jeudi 22 Juin 2006 Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire. Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait). "La France aime la, ou quitte la" La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen" Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition. Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! ) Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre ! | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 22:54 | |
| Sarkozy se veut reconnaissant avec la France Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident. Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !) Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ? Tignous - Charlie Hebdo Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(8) Trackback(0) Recommander Dimanche 02 Juillet 2006 Sarkozy c'est Chirac ... en pire Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones. Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ... Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez). Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable ! Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner ! Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras : ----------------------------------------------- Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher LE MONDE | 01.07.06 | 13h12 Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal." L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger." L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale." Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac. Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture". Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire. Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux. Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal ! Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme. -------------------------------------------- Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ? Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet. Fermez le ban Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(32) Trackback(0) Recommander Samedi 01 Juillet 2006 Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6) Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire. Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue. Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles. Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée. Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?). Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation. C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles. Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire. -------------------------------------------- Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques LE MONDE | 30.06.06 | 14h05 Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana. Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans." Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer." C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre. Philippe Ridet ------------------------------------------ Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(21) Trackback(0) Recommander Vendredi 30 Juin 2006 Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ... Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant. Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers. Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ? Cabu - 31.05.2006 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(16) Trackback(0) Recommander Jeudi 22 Juin 2006 Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire. Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait). "La France aime la, ou quitte la" La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen" Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition. Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! ) Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre ! | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 23:29 | |
| Sarkozy se veut reconnaissant avec la France Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident. Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !) Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ? Tignous - Charlie Hebdo Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(8) Trackback(0) Recommander Dimanche 02 Juillet 2006 Sarkozy c'est Chirac ... en pire Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones. Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ... Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez). Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable ! Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner ! Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras : ----------------------------------------------- Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher LE MONDE | 01.07.06 | 13h12 Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal." L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger." L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale." Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac. Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture". Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire. Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux. Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal ! Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme. -------------------------------------------- Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ? Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet. Fermez le ban Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(32) Trackback(0) Recommander Samedi 01 Juillet 2006 Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6) Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire. Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue. Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles. Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée. Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?). Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation. C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles. Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire. -------------------------------------------- Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques LE MONDE | 30.06.06 | 14h05 Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana. Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans." Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer." C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre. Philippe Ridet ------------------------------------------ Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(21) Trackback(0) Recommander Vendredi 30 Juin 2006 Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ... Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant. Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers. Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ? Cabu - 31.05.2006 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(16) Trackback(0) Recommander Jeudi 22 Juin 2006 Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire. Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait). "La France aime la, ou quitte la" La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen" Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition. Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! ) Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre ! | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 23:44 | |
| Sarkozy se veut reconnaissant avec la France Le petit Nicolas Sarkozy a des origines étrangères. Sans son papa, venu s'engager dans la légion étrangère, il rêverait, sans doute, de la lointaine hongrie, des mirages de l'occident. Aujourd'hui il est Français, mais pas suffisamment fier d'elle au point de la quitter (vous aurez remarqué qu'il a quelques difficultés avec la rupture, et même les ruptures !) Et demain, il va continuer son petit manège du premier arrivé, premier servi. Encourageant non ? Tignous - Charlie Hebdo Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(8) Trackback(0) Recommander Dimanche 02 Juillet 2006 Sarkozy c'est Chirac ... en pire Little Sarkozy n'est presque pas gonflé ! Il sait qu'il prend une majorité de français pour des neuneus. En se disant que de toute façon pour être sarkolatre il n'est pas nécessaire d'avoir des neurones. Il suffit juste d'avoir deux mains pour applaudir et des petites jambes pour suivre le chef partout ou il veut aller. Le reste est superflu ... Ce billet fera donc plaisir aux sarkolatres de tout poil, toujours mal pris quand il faut montrer l'efficacité et même l'utilité du petit Sarkozy. C'est proprement impossible et ce n'est pas pour rien que personne n'y arrive. Ce blog est donc l'endroit ou se déposent les critiques qui ne sont que des ritournelles trahissant un manque d'argument criant : gauchiste, la gauche fait pire, les communistes sont des monstres, la france va mal il lui faut un sauveur ... (pour avoir une idée plus complète parcourez les 13 000 commentaires déposés ici, vous comprendrez). Pour enfoncer le clou et montrer que le petit Nicolas Sarkozy ne fait que du copier coller de tout ce qui permet de conquérir l'opinion sans trop se fatiguer, voici une démonstration implacable ! Elle s'applique à des propositions récentes, mais tout son programme est ainsi : pompé sur des sources diverses et variées, pour beaucoup en import direct d'amérique. Que cela marche ou pas n'a aucune importance : il faut marquer l'opinion, le reste sera l'affaire de ceux qui gouverneront. Car le petit Sarkozy n'a jamais eu envie de gouverner, sinon il aurait commencé il y a plusieurs années. Il veut juste régner ! Sarkozy copie Chirac et pompe à tout va et à tour de (petits) bras : ----------------------------------------------- Sarkozy en Chirac III, par Eric Le Boucher LE MONDE | 01.07.06 | 13h12 Voici un petit jeu du "cherchez la différence". L'un a dit : "Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l'incline à la résignation ; il risque de l'inciter à la colère." L'autre a dit : "La France doute. Le sentiment d'appartenance à la nation s'effrite. (...) La société est aspirée par la violence primitive." L'un a dit : "La France souffre d'un mal profond." L'autre a dit : "La France va mal." L'un a dit : "Les pauvres s'appauvrissent, les bas salaires stagnent. Les commerçants, les artisans, les professionnels libéraux, les petits patrons connaissent des difficultés croissantes. De plus en plus de ménages ont du mal à payer leur loyer ou à rembourser leurs emprunts, de plus en plus de petites entreprises, peu ou mal soutenues par les banques, sont contraintes au dépôt de bilan ou aux licenciements." L'autre a dit : "En vingt-cinq ans, le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté. (...) La France qui vit de son travail a subi une chute de son niveau de vie, elle a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, de plus en plus de mal à se loger." L'un a dit : "Le consensus social se disloque, (...) l'ascenseur social est en panne. (...) La société française se fracture." L'autre a dit : "L'angoisse du déclassement hante la classe moyenne. La fracture sociale s'est transformée en désintégration sociale." Arrêtons-là le jeu, on aura reconnu dans l'"un" Jacques Chirac, dans son livre La France pour tous, qui lançait sa candidature à l'élection présidentielle de 1995. Et dans l'"autre" Nicolas Sarkozy, candidat pour 2007, dans son discours programme, le 22 juin à Agen. Les deux propos sont mot à mot les mêmes : M. Sarkozy a fait du copier-coller de M. Chirac. Pour tous ceux qui, alarmés de l'état du pays, attendent beaucoup de la présidentielle de 2007, les nouvelles sont très moyennes. Certes, les personnalités pétillantes des deux favoris promettent un beau match : Sarko-Ségo. Certes, la façon dont Ségolène Royal aplatit les éléphants du PS en sortant de leur discours du mensonge et de l'opposition manichéenne fait très plaisir. Certes, nous ne sommes qu'à l'échauffement, à dix mois de l'échéance. Mais le débat part mal. Mme Royal a sur le dos un parti qui vient de pondre un programme dépensier, inapplicable, dont l'inspiration recule aux années 1970. M. Sarkozy chausse les bottes de M. Chirac, d'avec qui il avait pourtant promis "la rupture". Le discours prononcé à Agen par le président de l'UMP fait des propositions qui méritent attention : un plan PME, un contrat de travail unique, une sécurité des parcours professionnels, la TVA sociale (encore qu'un récent rapport vient de dire que c'est une fausse-bonne idée), la fin des 35 heures obligatoires... Mais elles ne forment pas un tout cohérent, une vision. On avait déploré la faiblesse d'analyse économique de M. Sarkozy lors de son passage au ministère des finances (notre chronique du 29 novembre 2004). Il n'a visiblement toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur. Au contraire. Son discours d'Agen fait réapparaître une analyse de la situation de la France fausse, sommaire et inquiétante. Fausse, car dire que "depuis vingt-cinq ans le pouvoir d'achat des salaires n'a en moyenne presque pas augmenté" relève d'une erreur. Sa hausse a subi une inflexion à partir de 1978 (voir graphique), mais il a néanmoins augmenté de 15 %. Le pouvoir d'achat du salaire minimum a gagné 24 %. La France a des problèmes sociaux terribles, mais elle ne souffre pas d'une paupérisation de 80 % de la population, comme en est convaincu M. Sarkozy. Le diagnostic est faux. Or il est idéologiquement faux : il s'agit de démontrer que la masse s'oppose à l'élite, celle des jet-managers des firmes mondialisées. La fracture passe, au fond, entre les patrons et les ouvriers, back to USSR... M. Chirac avait gobé cette analyse social-souverainiste (partagée par l'extrême gauche). M. Sarkozy pas entièrement. Il évite la dénonciation de l'élite, mais se rattrape en tapant sur Mai-68 ("Les soixante-huitards portent une responsabilité considérable dans la panne de l'ascenseur social") et... sur la Banque centrale européenne. Revoilà le bouc émissaire idéal ! Cette analyse est sommaire parce que le problème social français ne relève pas d'un retour nostalgique de la lutte des classes. Les inégalités, devenues plus complexes et moins visibles, appellent des solutions bien plus fines qu'un simpliste "rétablissement de la nation". Cette analyse est sommaire parce que le manque de croissance économique ne vient pas des taux d'intérêt trop élevés de la Banque centrale ou de l'euro fort. Ce sont des "légendes", comme le dénonce justement l'économiste Charles Wyplosz (L'euro-révisionnisme, www.telos-eu.com) construites pour faire porter (à nouveau !) le chapeau à Jean-Claude Trichet : Sarkozy ne fait pas mieux que Chirac. L'atonie française relève plutôt de causes internes : défaut d'investissement, d'innovation et de spécialisation dans les secteurs moteurs. Tandis que le PS nous replonge dans des manuels marxistes, le candidat de l'UMP fait une régression anti-européenne. "Pour la France du travail", propose-t-il. Qu'il commence par l'appliquer à lui-même et par travailler son programme. -------------------------------------------- Sarkophage attend depuis si longtemps un VRAI BILAN du petit Nicolas Sarkozy. Quelque chose qui tienne la route. Il en vient à désespérer. Cela voudrait donc dire que depuis trente ans ce petit sinistre ne fait que brasser du vent sans que personne ne mette fin à sa supercherie ? Grave et importante question ... Amis Sarkolatres, faites preuve d'intelligence et d'imagination, sauvez votre beaudet du naufrage complet. Fermez le ban Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(32) Trackback(0) Recommander Samedi 01 Juillet 2006 Sarkozy a dit, Sarkozy a menti (6) Incorrigible petit Nicolas Sarkozy ! C'est pathologique ! Il ne peut pas, il ne peut pas ne pas manipuler tous ceux qui le regardent et surtout tous ceux qui peuvent l'élire. Sarkophage l'a déjà pris à de nombreuses reprises la main dans le sac, avec la langue fourchue. Il est encore obligé de l'épingler aujourd'hui, un mensonge de plus pour une manipulation aux grossières ficelles. Souvenez vous, le petit Nicolas Sarkozy nous avait promis de ne plus étaler sa vie privée en long en large et en travers. La main sur le coeur il reconnaissait avoir (juste un peu !) abusé avec sa femme et son fils en faire valoir. Et il avait donc demandé aux journalistes de respecter sa vie privée. Pomponnette est partie, le laissant comme un gland esseulé. Elle est revenue (combien a-t-il déboursé ?). Et qu'est il arrivé ? Il est retombé dans sa dépendance à la pipolisation. C'est le monde qui nous parle de cette rechute, le ton habituellement enjoué du journal pour son favori montre la lassitude provoquée par ses errances de plus en plus visibles. Il nous fait penser à un certain Lionel qui nous affirmait qu'il se retirait de la vie politique. Sarkozy fait la même chose, il promet de se retirer de la vie des pipoles. Manqué, raté, perdu, il est incapable de le faire. -------------------------------------------- Nicolas et Cécilia Sarkozy, ou "Nous deux" sous les tropiques LE MONDE | 30.06.06 | 14h05 Saint-Laurent du Maroni, Cayenne (Guyane), envoyé spécial Elle est revenue, telle qu'en elle-même. Treize mois d'absence intermittente ne l'ont pas changée : grande, élancée, intimidée, intimidante. La petite histoire retiendra que Cécilia Sarkozy, l'épouse du ministre de l'intérieur, a repris médiatiquement sa place au côté de son mari, jeudi 29 juin, à 8 h 45, sur la base aérienne de Rochambeau (Guyane) alors qu'ils prenaient place à bord d'un hélicoptère, direction Saint-Laurent du Maroni. Cécilia survolant la forêt amazonienne, sous l'oeil d'une caméra dûment autorisée ; Cécilia embrassant son époux ; Cécilia visitant une cité d'orpailleurs clandestins, où, quelques jours plus tôt, la gendarmerie avait effectué une descente, alors que ces immigrés du Brésil et du Suriname voisins avaient relâché leur vigilance le temps d'un match de Coupe du monde entre le Brésil et le Ghana. Dans ce Far West du bout du monde, en jeans, chemise blanche et bottes de caoutchouc, Cécilia et Nicolas Sarkozy viennent se rendre compte des résultats du plan Anaconda, grâce auquel une centaine de sites d'orpaillage clandestins ont été mis hors d'état de fonctionner. Pour cela, il suffit de pulvériser à l'explosif les moteurs des moto-pompes qu'utilisent les chercheurs d'or. Protégé par des hommes armés, le couple, quasi présidentiel, écoute les explications des policiers et des gendarmes. M. Sarkozy : "La politique, c'est moins dangereux. Ici, c'est quatre mois de survie. Moi, je suis ministre de l'intérieur depuis quatre ans." Mais les plus belles pages de ce Nous deux sous les tropiques étaient encore à venir. Installés sur une pirogue sillonnant le fleuve Maroni, Cécilia et Nicolas Sarkozy se laissent photographier et filmer sous tous les angles depuis un autre esquif sur lequel ont pris place cameramen et photographes. Plus loin, suivent la presse écrite et les radios. Plus loin encore, les conseillers et les membres du cabinet. Le soleil cogne : les images seront bonnes. L'amour triomphe. Interrogé sur le sens de cette opération "retour de Cécilia", un proche du ministre répond : "Il s'agit ni de la cacher ni de la montrer." C'est à croire que tel était bien l'objet de cette visite de douze heures dans ce département d'outre-mer : officialiser le bonheur retrouvé. Les quelques propositions du ministre-candidat sont passées inaperçues. Vingt-six heures d'avion pour un aller-retour, deux d'hélicoptère pour quelques images contrôlées : M. Sarkozy, avec son épouse, en apparence heureux, peut reprendre le fil de cette campagne présidentielle. Comme avant. "Je ne médiatiserai plus ma vie privée", avait juré le ministre. Philippe Ridet ------------------------------------------ Retrouvez les autres gros mensonges du petit Nicolas Sarkozy : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(21) Trackback(0) Recommander Vendredi 30 Juin 2006 Sarkozy change de registre : il devient chasseur d'enfants Le petit Nicolas Sarkozy est payé par le contribuable pour chasser le chasseur de poules, le bandit de grand chemin, l'escroc de haut vol ... Il a beaucoup de mal à assumer son rôle. Il faut dire que le délinquant d'aujourd'hui il est coriace. Il ne veut plus se laisser attraper comme avant. Il a donc trouvé une espèce facile à saisir et qui vient grossir les statistiques : les enfants sans papiers. Faciles à attraper, faciles à enfermer, et faciles à expulser. Pratique non ? Cabu - 31.05.2006 Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique publié par Sarkophage dans: Les casseroles de SarkoAjouter un commentaire Commentaire(16) Trackback(0) Recommander Jeudi 22 Juin 2006 Nicolas Sarkozy n'est pas logique avec lui-même Si vous avez des enfants, voilà un exemple facile pour leur apprendre le dire et le faire. Le petit Nicolas Sarkozy (un point commun avec vos enfants, cela aide beaucoup pour s'identifier et comparer) vend son programme (ou pré programme, ou absence de programme allez savoir) avec un argument dont il est très fier, mais qu'en fait il a piqué au FN (son arrière boutique en fait). "La France aime la, ou quitte la" La dernière fois que ce discours a été tenu d'une manière rigide, 1 400 000 soldats sont revenus les pieds en avant, dans une caisse en sapin, ou en morceaux façon puzzle. Sans parler des pays voisins qui ont lourdement agravé le score. A l'époque le discours c'était : "aime la France en la quittant pour le royaume des cieux, amen" Or le petit Nicolas Sarkozy, criant à l'envie ces nauséabondes paroles, n'est pas capable de s'appliquer le début du commencement de l'amorce de sa proposition. Il illustre parfaitement l'adage : faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Car j'ai un passe-droit, et moi, je ne suis pas un français comme les autres. Je suis au dessus de vous, je suis au dessus des lois, je suis au dessus de tout. (Appelez moi dieu ! ) Et pour trouver un exemple on peut se remémorer les performances routières de Nicolas Sarkozy, hors du commun pour un ministre ! | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 23:48 | |
| L’UMP c’est aussi ça
« Pik-Nik : Gay Lib se paie la tête de Marie-Antoinette » : cette légende accompagnait le carton d’invitation de cette association homosexuelle de l’UMP conviant ses gentils membres à un raout le 9 juillet dans les jardins du château de Versailles. Histoire d’appuyer ce texte tout en finesse, cette invitation était ornée de la reproduction d’une gravure montrant un sans-culotte brandissant la tête de la reine autrichienne devant la guillotine. On savait l’UMP incapable d’arrêter la chute de la France vers l’abîme, mais on ignorait jusqu’alors que son président acceptait de cautionner ouvertement ce genre de message malsain. | |
| | | Martin Non démocratique
Nombre de messages : 132 Age : 74 Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Le Pen veut "faire chanter" Barthez Ven 14 Juil - 23:57 | |
| Le problème Sarkozy mercredi 29 mars 2006 Sarkozy l'Imposteur, les couillons et les révolutionnaires Par Jean-Christophe Mounicq La veille du jour où bandes ethniques et hordes barbares s'apprêtent à fondre sur Paris et les principales villes de France pour saccager, piller et frapper les honnêtes gens, le ministre de l'Intérieur, que d'aucuns imagineraient surmené, prend le temps de lancer sa campagne présidentielle dans un grand meeting à Douai. A chacun ses priorités. Certains fantasment sur un Sarkozy obsédé par la sécurité et l'ordre. Nicolas Sarkozy, lui, fantasme sur la présidence de la République. Pas seulement quand il se rase le matin, aime-t-il répéter. La décence conduirait à attendre que la France cesse de donner l'image dévastatrice d'un pays au bord du chaos aux médias de la planète. La conscience professionnelle commanderait de réussir à son poste de ministre, en rétablissant l'ordre et la sécurité en France, avant de rêver de fonctions plus hautes. « Sarko » ne connaît pas ce type de pudeur. Le petit Nicolas sait que son bilan de ministre de l'Intérieur, avec des banlieues en situation insurrectionnelle, est bien plus catastrophique que ses pourtant déjà mauvais bilans de ministre de l'Economie dans le gouvernement Raffarin ou de secrétaire d'Etat au Budget dans celui de Balladur. Il sait aussi, en vieux politicard du système, pouvoir compter sur les medias complices pour ne pas évoquer les choses qui fâchent. Les journalistes ne chercheront pas davantage de vrais poux sur la tête de M. Sarkozy que sur celle de M. Fabius ou de Mme Royal. Ainsi va la vie politique en France, avec ses médias aux ordres, souvent menteurs par omission et de plus en plus souvent appelés « merdias » sur internet. Les éditorialistes étrangers évoquent un destin à l'Argentine pour une France asphyxiée par son Etat-providence, toute aussi incapable de contenir l'explosion de ses dettes que de relancer sa machine économique. Les télévisions du monde montrent une France peuplée de Barbares qui enflamment les banlieues des trois cent plus grandes villes quand ils n'attaquent pas les trains. Les barbares tuent. Ils tuent Jean-Claude Irvoas parce qu'il prend une photo d'un réverbère, tuent Jean-Jacques Le Chenadec parce qu'il éteint un feu de poubelle, torturent Ilan Halimi parce qu'il est Juif et que sa communauté doit payer, percutent et laissent mourir Raphaël Clin parce qu'il est gendarme. Le ministre de l'Intérieur laisse s'installer l'ordre des Barbares et entame sa campagne de présidentiable. Il se présente en sauveur providentiel et en extra-terrestre tombé du ciel. Il va jusqu'à faire supprimer toute référence à l'UMP lors de son meeting. Comme s'il n'était pas le président du parti qui a dirigé sans partage la France depuis bientôt quatre ans. Comme s'il n'avait aucune responsabilité dans le marasme économique et sécuritaire de notre pays. Sarko sait que journalistes et gauchistes le traiteront toujours de libéral conservateur tendance fasciste et que son électorat s'y laissera prendre comme il s'est laissé prendre avec Giscard ou Chirac. En bon radical socialiste, le ministre de l'Intérieur n'hésitait pas à faire ses déclarations de foi pro-immigrationniste (1). Il a mis ses actes en conformité (2). Il multiplie les circulaires aux préfets pour demander de la complaisance à l'égard des immigrés illégaux, octroie des titres de séjour aux immigrés illégaux de Sangatte, décuple le quota de visas aux Algériens. Il relance l'immigration, reconnaît officiellement et sponsorise une organisation proche des « Frères musulmans » l'UOIF, fait interdire l'expulsion hors de France des délinquants étrangers, proclame sa volonté de donner aux immigrés des droits et avantages particuliers dont seront privés les Français de souche avec la discrimination positive, et promet le droit de vote des immigrés aux élections locales. Les 200 000 couillons de l'UMP qui aiment ce chef qui ruine et coule la France en redemandent. Devant 3000 d'entre eux, il vient d'expliquer sa méthode pour réformer notre modèle économique et social : « La « rupture » comme projet, le « compromis » comme méthode », titre le Figamonde dans sa version du matin ; en « prônant le dialogue social » précise la version du soir. Ce seront donc les syndicats de fonctionnaires qui diront jusqu'où la réforme peut aller. Et ce sera nulle part. « La rupture par le compromis » est promise aux cons. Sarkozy rejoue le coup de Raffarin aux égoïstes, aux satisfaits, aux profiteurs et aux débiles qui ne manqueront pas de voter pour lui. Quant aux autres, ils sont les bienvenus pour venir gonfler les rangs des révolutionnaires bleus qui seuls réclament la tolérance zéro pour remettre de l'ordre et la réduction des impôts pour relancer l'économie. 1. cf. Libération du 23 décembre 2005 ou « 100 minutes pour convaincre » du 9 décembre 2002 sur France 2 2. cf. l'excellent dossier « Les 7 péchés capitaux de Nicolas Sarkozy » dans la Voix des Français de mars 2006 ( www.vdfr95.com) | |
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