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 Quand les écologistes deviennent terroristes

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Alexandre
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Alexandre


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Candidat : Nicolas Sarkozy
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MessageSujet: Quand les écologistes deviennent terroristes   Quand les écologistes deviennent terroristes EmptyDim 12 Mar - 14:46

[img]http://s.tf1.fr/mmdia/i/48/9/2171489_5.jpg[/img]

[b]Deux romans américains, le dernier Michael Crichton et la réédition d'un livre culte, mettent en scène des écologistes qui recourent à la violence pour défendre l'environnement. Avec un bonheur inégal. [/b]

Auteur prolifique de thrillers à succès (Sphère, Harcèlement, Le 13e guerrier...), Michael Crichton a su marier avec plus ou moins de bonheur les récits à rebondissements avec des réflexions sur l'usage de la science et l'action de l'homme sur la nature. Dans Jurassic Park déjà, il prenait le contre-pied du discours écologiste en affirmant que la Terre se remettrait des dommages infligés par les activités humaines, quand bien même cela lui prendrait des millions d'années. A l'inverse, l'homme serait la première victime de ses propres excès.

Dans Etat d'urgence (1), Crichton enfonce le clou : "L'homme, défini autrefois comme le grand perturbateur de l'ordre naturel, ne l'est aucunement, explique l'auteur par la voix d'un de ses personnages. L'environnement est, de toute façon, soumis à des perturbations constantes." Etudes et graphiques à l'appui, dûment référencés, l'écrivain incite ses lecteurs à ne pas prendre pour argent comptant les propos alarmistes que répandent les organisations écologistes et certains scientifiques, grâce à la complaisance des médias.

C'est cet état de peur (State of fear est le titre original de l'ouvrage) et sa fonction politico-sociale que Crichton dénonce fermement. Et plutôt lourdement. Au point de plomber le rythme de son récit par d'interminables échanges sur le réchauffement climatique. Les travaux scientifiques sont "cités complètement hors propos", indique même à LCI.FR Jean Jouzel, spécialiste du climat dont une des études est évoquée dans le livre. En clair, Crichton a retenu de ces recherches les phrases qui lui permettaient d'appuyer sa démonstration. Certes, on passe de bons moments ; certes, on est amené à revenir sur des lieux communs de l'écologie. Mais on ne peut qu'être dubitatif devant une thèse qui prétend que l'inquiétude sur l'état du monde est exagérée. Il suffit d'aller se promener dans un coin de nature ou de passer quelques jours près d'un littoral pour s'en convaincre.

Bonheurs fugaces

Autre époque, autre approche. Réédité dans une traduction révisée (lire l'encadré ci-dessous), Le gang de la clé à molette (2) a été écrit par Edward Abbey en 1975. Une période marquée par la guerre du Vietnam et le Flower Power. Le gang en question naît de l'association improbable de quatre individus — un toubib, une baba cool, un mormon et un vétéran du Vietnam — révoltés de voir routes, ponts, barrages et industries gangrener l'Ouest des Etats-Unis. Aussi décident-ils d'unir leurs efforts, sans parvenir à faire taire leurs divergences, pour saboter les arrogants monstres de béton et d'acier qui prennent d'assaut les étendues sauvages.

Pour faire passer son message, Abbey ne s'en remet à aucune théorie : ses descriptions d'un monde en voie de disparition suffisent à nous convaincre. Un feu de camp au milieu d'arbres centenaires, la descente d'un fleuve indompté, le cri d'un rapace planant dans les hauteurs, la lune qui se lève au-dessus d'un canyon... Abbey nous fait partager les bonheurs fugaces de ses héros, branquignols attachants engagés dans un combat perdu d'avance. C'est beau, drôle, pathétique. A sa mort, en 1989, Abbey demanda à être enterré dans le désert. Nul ne sait où se trouve sa tombe. Réjouissons-nous : ses écrits sont encore bien vivants.

Source : TF1
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Kiti
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MessageSujet: Re: Quand les écologistes deviennent terroristes   Quand les écologistes deviennent terroristes EmptyVen 14 Juil - 23:42

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY

Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.

Le double langage de Sarkozy
D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .

Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”

1. Relance de l’immigration
L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !

2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale
Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.

3. Aide à l’islamisation de la France
Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..

4. Hostilité au droit du sang
Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.

5. Abrogation de la prétendue “double peine”
Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).

6. Droit de vote des immigrés
Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.

7. Discrimination “positive”
Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.

Conclusion
On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.”
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