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 Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em

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Alexandre
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Alexandre


Masculin Nombre de messages : 2554
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Parti Politique : U.M.P
Candidat : Nicolas Sarkozy
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Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em Empty
MessageSujet: Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em   Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em EmptyMer 7 Juin - 19:46

[quote][b][u]Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en embuscade[/u]

PARIS (Reuters) - A un an de la présidentielle, le Parti socialiste s'est doté d'un projet pour "réussir ensemble le changement" en 2007, un texte de consensus contenant une série de mesures "rose foncé" réclamées par son aile gauche.[/b]

Adopté au terme de six mois d'Etats généraux et dix heures de réunion au siège du PS, le texte - fait de formules générales sans aucun chiffrage pour l'instant - ménage des "espaces" dans lesquels deux "présidentiables", Ségolène Royal et Laurent Fabius, se sont engouffrés dès mercredi matin.

Tout en jurant leurs grands dieux que ce projet serait celui du futur candidat du PS, les deux rivaux ont insisté sur ce qu'ils avaient obtenu de voir figurer dans le document et annoncé leur intention de continuer à faire entendre leur petite musique personnelle.

"Heureusement, ma liberté de parole, comme celle de tous les socialistes, n'est pas terminée", a prévenu la présidente de Poitou-Charentes qui estime que les socialistes, "s'ils reviennent aux responsabilités", ne doivent pas se laisser "enfermer par des formules" - notamment pour lutter contre la délinquance des jeunes.

Sa proposition d'encadrement militaire des primo-délinquants n'a pas été retenue, à la grande satisfaction de ses concurrents.

Plusieurs mesures éducatives qu'elle se félicite d'avoir apportées au pot commun - présence plus forte des adultes dans les collèges ou accroissement des "classes relais" - figuraient déjà dans les versions précédentes du projet.

Aux dires de ses proches, le PS confortera la loi de 1966 permettant la mise sous tutelle des allocations familiales en cas d'incivilités répétées des enfants. Plusieurs participants au Bureau national de mardi soir assurent cependant que cette formule ne figurera pas dans la version définitive du texte.

"Il y a toujours une dimension personnelle dans le choix (d'un candidat présidentiel) et donc cette dimension personnelle et politique jouera, même si ce projet sera le socle", a estimé de son côté Laurent Fabius.

"URGENCE SOCIALE"

A l'automne dernier, l'ancien Premier ministre avait lancé l'idée d'une augmentation du smic à 1.500 euros net sur la législature. Cette idée figure désormais dans les objectifs des socialistes.

Il a également obtenu que l'on "muscle" la référence à la laïcité et que soit stipulée "l'abrogation" de la loi Fillon sur les retraites. Les textes précédents ne prévoyaient que son "remplacement". Le PS veut également travailler à un "minimum garantie" pour les retraités, qui s'approcherait du smic.

Le dernier texte disponible, qui date de lundi soir, crée un "bouclier logement", mesure qui plafonne à 25% la part du budget des ménages modestes consacrée au loyer. Il prévoit la possibilité de sanctionner les ventes "à la découpe" et le triplement des amendes pour les communes ne respectant pas les obligations de mixité sociale.

Le Nouveau Parti socialiste s'est enorgueilli de "trois belles victoires" - sur la politique salariale, la jeunesse et les institutions - qui doivent évoluer vers une "République parlementaire".

En cas d'échec de la négociation collective sur l'augmentation des salaires, le PS permettra aux pouvoirs publics de "reprendre la main" et d'imposer cette hausse.

Parmi les "recadrages" souhaités par le NPS, le projet stipule désormais que les listes électorales ne respectant pas strictement la parité perdront leur dotation publique et que l'octroi de subventions publiques aux entreprises sera "subordonné à leur engagement de ne pas licencier".

La version définitive du projet ne devrait pas être disponible avant jeudi après-midi. Les militants, dont près de 75.000 nouveaux adhérents ayant rejoint les rangs du PS avant le 1er juin, se prononceront sur le texte le 22 juin.

"Notre projet est construit autour de valeurs qui peuvent rassembler les Français. Il répond à l'urgence sociale avec les mesures qu'il faudra prendre dès 2007 et dans la durée avec les réformes qu'il faudra mener sur plusieurs années", proclame la dernière version de travail.


© Reuters 2006. Tous droits réservés. [/quote]

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Kiti
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Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em Empty
MessageSujet: Re: Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em   Un projet socialiste "rose foncé" et des ego en em EmptyVen 14 Juil - 23:39

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DE NICOLAS SARKOSY

Comment peut-on se dire de droite et réclamer le droit de vote pour les immigrés ? C’est pourtant cet incroyable paradoxe qu’a tenté Nicolas Sarkozy. Ce dernier emploie volontiers un langage pugnace, en disant qu’il faut “nettoyer les cités au Kärcher” et pratiquer la “tolérance zéro” envers les “racailles”. Ce ne sont, hélas, que des mots.

Le double langage de Sarkozy
D’une part, sa politique est, en réalité, inefficace et laxiste : depuis près de quatre ans qu’il est chargé de l’immigration comme ministre de l’Intérieur, la situation n’a jamais été aussi mauvaise dans les banlieues, comme l’ont démontré les émeutes ethniques d’octobrenovembre 2005. D’autre part, quand il s’exprime dans un journal de gauche, Sarkozy n’hésite pas à faire une profession de foi immigrationniste, comme dans Libération, le 23 décembre 2005 .

Sur la question de l’immigration, Sarkozy tient en permanence un double langage. Quelle est la vérité du personnage ? Si l’on en juge, objectivement, d’après les décisions qu’il a prises et les propositions qu’il a faites, force est de reconnaître qu’il est plus à gauche que la gauche, dans ce domaine. Pour que chacun puisse en juger par lui-même, nous récapitulons ici ce que l’on peut appeler “les sept péchés capitaux de Sarkozy sur l’immigration”

1. Relance de l’immigration
L’immigration était officiellement arrêtée depuis 1974. Les gouvernements de gauche n’étaient eux-mêmes jamais revenus sur ce principe, qui connaissait, hélas, bien des exceptions. Cependant, arrivé au ministère de l’Intérieur en juin 2002, Sarkozy s’est empressé de proclamer que la France avait besoin d’immigration, en condamnant la politique de l’“immigration zéro”. Puis il a proposé des “quotas” d’immigrés. Et quand il parle, aujourd’hui, d’une “immigration choisie”, il faut comprendre qu’il a choisi d’accepter toujours plus d’immigration !

2. Faiblesse à l’égard de l’immigration illégale
Trouvant que le gouvernement socialiste de Lionel Jospin avait été trop sévère à l’égard des immigrés illégaux, qu’il appelle des “sans-papiers”, il a multiplié, en 2002, les circulaires aux préfets pour leur demander d’être toujours plus complaisants. En particulier, pour fermer Sangatte, il a accordé un titre de séjour en France à tous les immigrés illégaux de ce centre qui ne réussissaient pas à entrer en Angleterre ! Plus récemment, il a pris “la décision lourde (sic) d'arrêter les expulsions [des immigrés illégaux] durant l'année scolaire” pour les enfants qui vont à l’école, et pour leurs parents.

3. Aide à l’islamisation de la France
Il a favorisé l’installation de l’islam en France et son institutionnalisation, en créant un “conseil français du culte musulman”, et il a officiellement reconnu, à cette occasion, une organisation proche des “Frères musulmans”, l’U.O.I.F..

4. Hostilité au droit du sang
Le droit du sang, ou principe de filiation, le révulse : ignorant que c’est la base du droit de la nationalité en vigueur dans notre pays depuis deux siècles, il suggère que c’est un principe raciste et se dit, en revanche, “très attaché à la notion de droit du sol”. Or, le droit du sang (jus sanguinis) figure actuellement à l’article 18 du code civil : “Est Français l'enfant, légitime ou naturel, dont l'un des parents au moins est Français” (in chapitre II - “De la nationalité française d'origine” - Section I - Des Français par filiation” ; cf. l’article 10 du code civil de 1804, disposition en vigueur le 18 mars 1803 : “Tout enfant né d'un Français en pays étranger, est Français.”). A ceux qui s’étonneraient qu’un ministre de l’Intérieur puisse ignorer le b.a.-ba du droit de la nationalité, nous conseillerions de se procurer un enregistrement de l’émission “Cent minutes pour convaincre”, sur France 2, le 9 décembre 2002.

5. Abrogation de la prétendue “double peine”
Il a empêché l’expulsion hors de France des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine de prison en faisant voter une loi qui leur attribue un droit de séjour perpétuel en France, sous prétexte de leur épargner une prétendue “double peine”. Il a ainsi satisfait une revendication de l’extrême gauche (relayée, au sein de la majorité, par le maire-député UMP de Versailles, Etienne Pinte).

6. Droit de vote des immigrés
Sarkozy s’était prononcé, dès 2001, pour le droit de vote des immigrés, dans son livre Libre. Il a récidivé en 2005, dans une déclaration, trop vite oubliée, qui a suscité, sur le moment, une émotion légitime, à droite.

7. Discrimination “positive”
Sarkozy s’est prononcé pour la discrimination antinationale en faveur des immigrés, qu’il qualifie de “positive”. Il s’agit de donner aux immigrés des droits et des avantages particuliers, dont seraient privés les Français de souche. Cette proposition, d’une extrême gravité, est en totale contradiction avec les fondements de la République, puisqu’elle viole le principe d’égalité qui figure à l’article 1er de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.

Conclusion
On peut porter un jugement différent du nôtre sur ces “sept péchés capitaux de Nicolas Sarkozy”, on peut même y voir “sept vertus cardinales”, si l’on a de la France une vision opposée à la nôtre, mais les faits sont là. Ils ne sont ni contestables ni contestés. Sarkozy utilise des “mots-paravents” (comme “racailles” et “Kärcher”) pour abuser les électeurs de droite, mais ce qu’il fait, comme simple ministre, ou, pis encore, ce qu’il a l’intention de faire, en tant que candidat à la magistrature suprême, est parfaitement incompatible avec l’unité de la nation et les principes de la République. Il est difficile d’imaginer un écart plus grand entre ce que Sarkozy prétend être, quand il s’adresse aux électeurs de droite, et ce qu’il est, en réalité, dans son action politique. Il faut donc se rendre à l’évidence : Sarkozy est un imposteur. Sarkozy l’imposteur devrait méditer cette réflexion d’Abraham Lincoln : “On ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps.”
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